Le public les a découverts lors de "9 semaines et un jour" en 2011, organisé par Polynésie 1ère. Depuis Vaiteani et Luc vivent un rêve. Vaiteani prof d'anglais, passionnée de chant et Luc musicien se sont bien trouvés. Leur musique plait, les concerts s’enchaînent, ils signent leur 1er album…
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Vaiteani et Luc ont signé, l'année dernière à Paris, avec la maison de disques « Un Plan Simple », distribuée par Sony Music. Partis ces six derniers mois en métropole pour terminer leur premier album, ils sont de retour à Tahiti quelques jours pour se ressourcer, prendre des vacances, mais aussi faire la promotion de leur prochain album et présenter leur single « Three weeks ». L’album devrait sortir en début d’année prochaine.
En ce qui concerne le clip « How They Call It », il n’est pas diffusé sur internet pour l'instant; uniquement en télé en exclusivité sur Polynésie 1ère, et également dans les avions de la flotte d'Air Tahiti Nui. La version qu'on découvre dans le clip est une version acoustique inédite. Ce n'est pas la même qui sera sur notre 1er album.
Polynésie 1ère a profité de leur passage au fenua pour les inviter en radio, mais aussi échanger davantage. Vaiteani et Luc répondent aux questions de Polynésie 1ère :
Pourquoi ce clip ? Quel message souhaitez-vous faire passer au travers de cette chanson ?
Luc : C'est Virginie Tetoofa qui a choisi de travailler sur ce morceau et qui a proposé de le tourner à Paris. Toute les images d'animation ont été réalisées par Iaorana Motion, avec beaucoup de talent. Le titre est intéressant puisqu'il mélange des sonorités inhabituelles notamment avec le balafon (xylophone africain en bois) qu'on n’a pas l'habitude d'entendre dans le contexte d'une chanson folk. Le fait de tourner à Paris dans cette grande ville et de s'habiller différemment nous a permis de contraster avec notre 1er clip « Silver Ocean » (qui est une ode à la beauté de la nature de Tahiti et ses îles) et d'ouvrir ainsi notre univers sans qu'on nous mette dans une case trop étroite. Dans le clip, Vaiteani s'anime au son du balafon comme une sorte de poupée qui prend vie... Le clip n'illustre pas directement le sens de la chanson, qui est au final assez éloigné des images et c'est justement ce décalage que l'on trouve intéressant. C'est bien de ne pas toujours tout rendre "littéral" et "évident".
Vaiteani : La chanson parle du jugement des autres et de la nécessité de s'en défaire ('How they call it' signifie littéralement: 'Comme ils l'appellent'). J’écris tous mes textes. J’ai voulu parler plus spécifiquement ici du jugement que nous portons sur les relations amoureuses des autres (ou des jugements que nous subissons nous-mêmes) du type "c'est grave à quel point elle est jalouse celle-là" ou encore "c'est grave à quel point elle est aveugle celle-ci". Ces jugements qui blessent, car ils se fondent sur une vision partielle des relations en question, sont la cible de la chanson. En bref, le message est que tout le monde n'aime pas forcément de la même manière et que chacun a le droit d'aimer comme il aime, tant que la violence, bien entendu, est proscrite.
Racontez-nous comment s'est passé l'enregistrement. Où l'avez-vous réalisé ? Des anecdotes ?
Luc : Le clip a été réalisé par Virginie Tetoofa à Paris. Nous avons eu l'autorisation de tourner dans les locaux de la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) dans la très belle verrière qu'on peut voir dans le clip. Pour les images de l'introduction où je me ballade avec le balafon dans Paris, c'était l'aventure ! On a tourné des images sur un toit à l'aube en passant par la trappe de l'immeuble où habite un ami de Virginie avec l'échelle de secours. J'ai aussi joué du balafon dans le métro, sur des ponts, des fontaines... On a parcouru toute la capitale en une matinée. Virginie avait repéré les lieux en amont. C'était fun et fatiguant aussi !
Vaiteani : Et puis, bien que nous ayons tourné en été, il faisait assez frais et entre les prises j’allais souvent me mettre un pull ou mon manteau en attendant la suite. La scène où je dois me lever de manière robotique au début du clip a été tournée plusieurs fois et avec les talons, ça valait bien une séance de fitness! Un clip, c'est sûr, c'est du sport ! :)
Vos projets ? De nouvelles chansons en vue ? Prochains concerts ?
Luc : Comme évoqué plus haut, nos projets sont de faire des concerts et travailler avec notre maison de disques pour préparer au mieux la sortie de notre 1er album et sa promotion. On espère qu'on arrivera à toucher le cœur des gens en Polynésie mais aussi en métropole avec nos chansons et qu'on aura assez de succès pour vivre de notre musique.
Site officiel: https://www.vaiteani.com/
Facebook: https://www.facebook.com/vaiteanimusic
Twitter: https://twitter.com/vaiteanimusic
Youtube: https://www.youtube.com/user/vaiteanimusic
Instagram: Vaiteanimusic
En ce qui concerne le clip « How They Call It », il n’est pas diffusé sur internet pour l'instant; uniquement en télé en exclusivité sur Polynésie 1ère, et également dans les avions de la flotte d'Air Tahiti Nui. La version qu'on découvre dans le clip est une version acoustique inédite. Ce n'est pas la même qui sera sur notre 1er album.
Polynésie 1ère a profité de leur passage au fenua pour les inviter en radio, mais aussi échanger davantage. Vaiteani et Luc répondent aux questions de Polynésie 1ère :
Pourquoi ce clip ? Quel message souhaitez-vous faire passer au travers de cette chanson ?
Luc : C'est Virginie Tetoofa qui a choisi de travailler sur ce morceau et qui a proposé de le tourner à Paris. Toute les images d'animation ont été réalisées par Iaorana Motion, avec beaucoup de talent. Le titre est intéressant puisqu'il mélange des sonorités inhabituelles notamment avec le balafon (xylophone africain en bois) qu'on n’a pas l'habitude d'entendre dans le contexte d'une chanson folk. Le fait de tourner à Paris dans cette grande ville et de s'habiller différemment nous a permis de contraster avec notre 1er clip « Silver Ocean » (qui est une ode à la beauté de la nature de Tahiti et ses îles) et d'ouvrir ainsi notre univers sans qu'on nous mette dans une case trop étroite. Dans le clip, Vaiteani s'anime au son du balafon comme une sorte de poupée qui prend vie... Le clip n'illustre pas directement le sens de la chanson, qui est au final assez éloigné des images et c'est justement ce décalage que l'on trouve intéressant. C'est bien de ne pas toujours tout rendre "littéral" et "évident".
Vaiteani : La chanson parle du jugement des autres et de la nécessité de s'en défaire ('How they call it' signifie littéralement: 'Comme ils l'appellent'). J’écris tous mes textes. J’ai voulu parler plus spécifiquement ici du jugement que nous portons sur les relations amoureuses des autres (ou des jugements que nous subissons nous-mêmes) du type "c'est grave à quel point elle est jalouse celle-là" ou encore "c'est grave à quel point elle est aveugle celle-ci". Ces jugements qui blessent, car ils se fondent sur une vision partielle des relations en question, sont la cible de la chanson. En bref, le message est que tout le monde n'aime pas forcément de la même manière et que chacun a le droit d'aimer comme il aime, tant que la violence, bien entendu, est proscrite.
Racontez-nous comment s'est passé l'enregistrement. Où l'avez-vous réalisé ? Des anecdotes ?
Luc : Le clip a été réalisé par Virginie Tetoofa à Paris. Nous avons eu l'autorisation de tourner dans les locaux de la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) dans la très belle verrière qu'on peut voir dans le clip. Pour les images de l'introduction où je me ballade avec le balafon dans Paris, c'était l'aventure ! On a tourné des images sur un toit à l'aube en passant par la trappe de l'immeuble où habite un ami de Virginie avec l'échelle de secours. J'ai aussi joué du balafon dans le métro, sur des ponts, des fontaines... On a parcouru toute la capitale en une matinée. Virginie avait repéré les lieux en amont. C'était fun et fatiguant aussi !
Vaiteani : Et puis, bien que nous ayons tourné en été, il faisait assez frais et entre les prises j’allais souvent me mettre un pull ou mon manteau en attendant la suite. La scène où je dois me lever de manière robotique au début du clip a été tournée plusieurs fois et avec les talons, ça valait bien une séance de fitness! Un clip, c'est sûr, c'est du sport ! :)
Vos projets ? De nouvelles chansons en vue ? Prochains concerts ?
Luc : Comme évoqué plus haut, nos projets sont de faire des concerts et travailler avec notre maison de disques pour préparer au mieux la sortie de notre 1er album et sa promotion. On espère qu'on arrivera à toucher le cœur des gens en Polynésie mais aussi en métropole avec nos chansons et qu'on aura assez de succès pour vivre de notre musique.
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