C'est l'une des fleurs emblématiques de Polynésie française, très prisée notamment lors de la toussaint. Mais, depuis quelques mois, les opuhi sont décimés par un virus. Ce jeudi 27 octobre, un responsable du Service du Développement Rural s'est rendu sur place pour constater les dégâts.
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Pouvant atteindre jusqu'à deux mètres de hauteur, les opuhi comptent parmi les reines de nos jardins et trônent habituellement sur les tombes à la Toussaint. Mais, du côté de Papara, elles se sont transformées en une plante malingre et haute de vingt centimètres à peine.
Jeudi 27 octobre dans la matinée, Maurice Wong, responsable de la recherche agronomique au SDR, découvre l’ampleur du phénomène, et prélève quelques plants malades.
Delphine Torii, exploitante horticole, s’inquiète pour son exploitation, mais aussi d’une possible contagion aux oiseaux du paradis et autres sexy pink, deux espèces de la même famille. Elle a arraché presque tous ses plants d’opuhi et semble presque résignée.
Un kilomètre plus loin, Turia Tiatapatai, exploitante horitcole également, n’en a pas cru ses yeux lorsqu'elle a découvert ses quatre hectares d’opuhi en train de se rabougrir. Elle en a sauvé une petite partie en les arrosant avec de l’eau mélangée à de la lessive. Malheureusement, Turia Tiatapatai va perdre la presque totalité de sa recette espérée pour la Toussaint.
Place maintenant aux scientifiques en espérant qu’ils trouvent une solution pour que cette plante emblématique ne disparaisse pas du paysage.
Jeudi 27 octobre dans la matinée, Maurice Wong, responsable de la recherche agronomique au SDR, découvre l’ampleur du phénomène, et prélève quelques plants malades.
Delphine Torii, exploitante horticole, s’inquiète pour son exploitation, mais aussi d’une possible contagion aux oiseaux du paradis et autres sexy pink, deux espèces de la même famille. Elle a arraché presque tous ses plants d’opuhi et semble presque résignée.
Un kilomètre plus loin, Turia Tiatapatai, exploitante horitcole également, n’en a pas cru ses yeux lorsqu'elle a découvert ses quatre hectares d’opuhi en train de se rabougrir. Elle en a sauvé une petite partie en les arrosant avec de l’eau mélangée à de la lessive. Malheureusement, Turia Tiatapatai va perdre la presque totalité de sa recette espérée pour la Toussaint.
Place maintenant aux scientifiques en espérant qu’ils trouvent une solution pour que cette plante emblématique ne disparaisse pas du paysage.
Un virus attaque les opuhi