96 femmes ont porté plainte pour violences conjugales depuis le début de l’année, alors qu’une femme sur trois serait victime de ce fléau à La Réunion.
Seulement 10% des femmes victimes de violences conjugales portent plaintes à La Réunion.
La peur de représailles, la honte, mais aussi l’impression de ne pas être prises en considération par ceux censés assurer la protection du citoyen sont les raisons avancées par les victimes pour pas dénoncer un conjoint.
Elles soulignent l’accueil pas toujours adapté des forces de l’ordre lorsqu’elles se déplacent au commissariat ou à la gendarmerie.
Ce qui laisse le champ libre à l’agresseur.
Améliorer l’accueil c’est avoir la bonne attitude, assurer une confidentialité et accorder une priorité à ces victimes qui ont déjà eu beaucoup de mal à venir déposer plainte.
En images avec Nathalie Rougeau
La peur de représailles, la honte, mais aussi l’impression de ne pas être prises en considération par ceux censés assurer la protection du citoyen sont les raisons avancées par les victimes pour pas dénoncer un conjoint.
Elles soulignent l’accueil pas toujours adapté des forces de l’ordre lorsqu’elles se déplacent au commissariat ou à la gendarmerie.
Ce qui laisse le champ libre à l’agresseur.
Améliorer l’accueil c’est avoir la bonne attitude, assurer une confidentialité et accorder une priorité à ces victimes qui ont déjà eu beaucoup de mal à venir déposer plainte.
En images avec Nathalie Rougeau