Le verger de La Perrière sur le Tour-des-Roches a été dévasté par les vents de Dumile. A moins de quinze jours de la récolte, quarante tonnes de mangues sont tombées sur le sol. Des fruits pour la décharge.
Dumile et ses vents ont eu raison des manguiers du verger de La Perrière. Quarante tonnes de mangues Josée jonchent le sol du jardin situé juste derrière la grande-surface de Savannah.
Les époux Ramassamy constatent les dégats. Propriétaire de douze hectares d'arbres fruitiers sur cette terre depuis 15 ans, Yasmine attend de l'aide : "Nous allons ramasser les fruits pour les jeter. Il y en a au moins pour 60 à 70 000 euros sur le sol. Dans 15 jours, nous pouvions lancer la récolte pour vendre nos mangues sur les marchés et aux usines de production de jus et de sorbets. Là, tout est perdu".
Etat de catastrophe naturelle
Marius n'est pas en reste, il peste contre Dumile : "Deux semaines et nous pouvions sauver la moitié des fruits. Généralement les cyclones arrivent en février ou en mars, la saison des mangues est terminée. Cette fois; entre le retard des fruits, du à l'hiver, et ce cyclone qui arrive début janvier, la récolte est par terre".
L'annonce par la préfecture de la demande de reconnaissance de l''état de catastrophe naturelle est la bienvenue. Reste désormais à attendre et travailler pour effacer les traces douloureuses de Dumile.
Les époux Ramassamy constatent les dégats. Propriétaire de douze hectares d'arbres fruitiers sur cette terre depuis 15 ans, Yasmine attend de l'aide : "Nous allons ramasser les fruits pour les jeter. Il y en a au moins pour 60 à 70 000 euros sur le sol. Dans 15 jours, nous pouvions lancer la récolte pour vendre nos mangues sur les marchés et aux usines de production de jus et de sorbets. Là, tout est perdu".
Etat de catastrophe naturelle
Marius n'est pas en reste, il peste contre Dumile : "Deux semaines et nous pouvions sauver la moitié des fruits. Généralement les cyclones arrivent en février ou en mars, la saison des mangues est terminée. Cette fois; entre le retard des fruits, du à l'hiver, et ce cyclone qui arrive début janvier, la récolte est par terre".
L'annonce par la préfecture de la demande de reconnaissance de l''état de catastrophe naturelle est la bienvenue. Reste désormais à attendre et travailler pour effacer les traces douloureuses de Dumile.