Après 8 mois d’absence de circulation du virus de la dengue, un nouvel épisode de transmission est observé sur la commune du Tampon avec six cas autochtones survenus depuis le 1er février.
Sur les dix derniers jours, 4 nouveaux cas autochtones de dengue ont été détectés. Depuis le 1er février, cela porte à 6 le nombre de cas de dengue recensés par les services de l'ARS. Six cas autochtones auxquels il convient d'ajouter deux cas importés, l'un des Philippines et l'autre de Guadeloupe. L'agence régionale de la santé maintient donc le niveau d'alerte 2A du plan de lutte contre la dengue et le chikungunya et continue à mettre en oeuvre des mesures de lutte anti-vectorielle renforcées.
Les six cas autochtones répertoriés, quatre femmes et deux hommes, sont tous des adultes âgés en moyenne de 59 ans. Aucun de ces patients n’a été hospitalisé ou n’a présenté de forme sévère de la maladie. Ils sont tous survenus dans le sud de l’île. Cinq d’entre eux résident sur la commune du Tampon, dans la partie basse du centre ville. Un des patients est domicilié
aux Avirons, mais se rend régulièrement dans le secteur où sont survenus les cinq autres cas.
Quand aux deux cas importés, ils sont domiciliés dans l'ouest, à Saint-Gilles et au Port. L'ARS n'a détecté pour l'instant aucun cas secondaire, mais compte tenu du délai de transmission et d’incubation de la maladie et du pourcentage élevé de formes asymptomatiques, il est possible que de nouveaux cas surviennent dans les prochaines semaines.
Selon l'agence régionale de santé, la densité de moustique actuellement observée est, de plus, favorable à une intensification de la transmission du virus. L'ARS conclut que "la plus grande vigilance doit être maintenue dans le secteur concerné par la survenue de cas, mais également dans le reste de l’île".
Les six cas autochtones répertoriés, quatre femmes et deux hommes, sont tous des adultes âgés en moyenne de 59 ans. Aucun de ces patients n’a été hospitalisé ou n’a présenté de forme sévère de la maladie. Ils sont tous survenus dans le sud de l’île. Cinq d’entre eux résident sur la commune du Tampon, dans la partie basse du centre ville. Un des patients est domicilié
aux Avirons, mais se rend régulièrement dans le secteur où sont survenus les cinq autres cas.
Quand aux deux cas importés, ils sont domiciliés dans l'ouest, à Saint-Gilles et au Port. L'ARS n'a détecté pour l'instant aucun cas secondaire, mais compte tenu du délai de transmission et d’incubation de la maladie et du pourcentage élevé de formes asymptomatiques, il est possible que de nouveaux cas surviennent dans les prochaines semaines.
Selon l'agence régionale de santé, la densité de moustique actuellement observée est, de plus, favorable à une intensification de la transmission du virus. L'ARS conclut que "la plus grande vigilance doit être maintenue dans le secteur concerné par la survenue de cas, mais également dans le reste de l’île".