Les recherches du PGHM ont fini par aboutir. Un corps sans vie caché par la végétation a été hélitreuillé ce matin. Les proches de la victime ont confirmé qu’il s’agissait bien de Jean-Baptiste Boudet.
Jean-Baptiste Boudet était parti du Maïdo le dimanche 4 août dans l’après midi.
Il avait déclaré à ses amis qu’il partait camper dans le cirque de Mafate et qu’il serait de retour lundi. Sans nouvelles du jeune homme, qui connait bien La Réunion pour y avoir grandi, ses amis donnent l’alerte… sa disparition devenant inquiétante.
Les recherches entreprises à Mafate ne donnent rien. Sa tante et son téléphone portable sont découverts sur le sentier qui mène au Grand Bénares. Un sentier particulièrement dangereux surplombant le rempart en plusieurs endroits
Le chien pisteur de la gendarmerie perd la trace du jeune homme sur ce sentier.
Au bout de 5 jours, les chances de retrouver vivant Jean-Baptiste Boudet sont minces. Affronter le froid de l’hiver austral, à cette altitude, demande un équipement adapté et une bonne condition physique.
Mercredi 14 août, la famille et les amis de Jean-Baptiste affrètent un hélicoptère privé pour survoler la zone, déjà mainte fois quadrillée par les survols de celui de la Gendarmerie.
Pendant ce temps les hommes du PGHM avaient commencé à explorer au sol les remparts de Mafate. Exploration qui a permi ce matin de retrouver un corps sans vie. Celui-ci a été hélitreuillé pour être identifié.
Ses proches ont confirmé qu’il s’agissait bien du corps de Jean-Baptiste Boudet. L’autopsie va pouvoir déterminer les causes exactes du décès.
Il avait déclaré à ses amis qu’il partait camper dans le cirque de Mafate et qu’il serait de retour lundi. Sans nouvelles du jeune homme, qui connait bien La Réunion pour y avoir grandi, ses amis donnent l’alerte… sa disparition devenant inquiétante.
Les recherches entreprises à Mafate ne donnent rien. Sa tante et son téléphone portable sont découverts sur le sentier qui mène au Grand Bénares. Un sentier particulièrement dangereux surplombant le rempart en plusieurs endroits
Le chien pisteur de la gendarmerie perd la trace du jeune homme sur ce sentier.
Au bout de 5 jours, les chances de retrouver vivant Jean-Baptiste Boudet sont minces. Affronter le froid de l’hiver austral, à cette altitude, demande un équipement adapté et une bonne condition physique.
Mercredi 14 août, la famille et les amis de Jean-Baptiste affrètent un hélicoptère privé pour survoler la zone, déjà mainte fois quadrillée par les survols de celui de la Gendarmerie.
Pendant ce temps les hommes du PGHM avaient commencé à explorer au sol les remparts de Mafate. Exploration qui a permi ce matin de retrouver un corps sans vie. Celui-ci a été hélitreuillé pour être identifié.
Ses proches ont confirmé qu’il s’agissait bien du corps de Jean-Baptiste Boudet. L’autopsie va pouvoir déterminer les causes exactes du décès.