Un ouvrier de 33 ans décède des suites de ses blessures à l’hôpital de Saint-Pierre, lundi après-midi. Il avait chuté d’un échafaudage de 8 mètres, le matin même. Une enquête a été ouverte.
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Il est 7 heures du matin, Jean-Noël Célestin, 33 ans, vient de chuter du haut de l’échafaudage de 8 mètres. Il est tombé la tête la première sur le sol bétonné de l’entrepôt dans lequel, il travaillait. Son collègue a assisté impuissant à l’accident. En voyant Jean-Noël inanimé, il comprend que l’incident est très grave.
Alertés par l’unique témoin, les sapeurs-pompiers de Saint-Louis vont prodiguer les premiers soins, aidés par les médecins du Smur de l’hôpital de Saint-Pierre avant de le transporter.
Malheureusement, Jean-Noël Célestin n’a pas survécu au traumatisme crânien dont il souffrait. Son décès a été constaté dans l’après-midi de lundi.
Les collègues sous le choc
Une enquête a été confiée aux gendarmes de la commune de Saint-Louis. Ils vont tenté de comprendre comment cet accident du travail tragique s’est déroulé et si toutes les mesures de sécurité ont été respectées.
La victime travaillait avec son collègue pour une petite entreprise chargée d’aménager un hangar de la zone d’activité du Gol. Hangar dans lequel une société devait stocker des produits toxiques.
Le patron et l’employé étaient sous le choc, lundi. Les enquêteurs doivent les entendre dans la journée.
Alertés par l’unique témoin, les sapeurs-pompiers de Saint-Louis vont prodiguer les premiers soins, aidés par les médecins du Smur de l’hôpital de Saint-Pierre avant de le transporter.
Malheureusement, Jean-Noël Célestin n’a pas survécu au traumatisme crânien dont il souffrait. Son décès a été constaté dans l’après-midi de lundi.
Les collègues sous le choc
Une enquête a été confiée aux gendarmes de la commune de Saint-Louis. Ils vont tenté de comprendre comment cet accident du travail tragique s’est déroulé et si toutes les mesures de sécurité ont été respectées.
La victime travaillait avec son collègue pour une petite entreprise chargée d’aménager un hangar de la zone d’activité du Gol. Hangar dans lequel une société devait stocker des produits toxiques.
Le patron et l’employé étaient sous le choc, lundi. Les enquêteurs doivent les entendre dans la journée.