De retour de vacances de l’île de La Réunion, un élu du conseil général du Loire-et-Cher, témoigne. Jean-Luc Brault était sur la plage de l’Etang-Salé quand Tanguy a été attaqué par le requin.
« Nous étions à environ 80 mètres de là, lorsque l'accident s'est produit. La victime se trouvait dans un endroit où la baignade est strictement interdite », Jean-Luc Brault, vice-président du conseil général de Loir-et-Cher se souviendra longtemps de son séjour de l'automne 2013 sur l'île de la Réunion, relatent nos confrères de la Nouvelle-République. Le témoin, élu du département explique qu’il avait décidé de passer la fin de journée de ce samedi 26 octobre 2013 sur la plage de l’Etang-Salé, « une petite ville du sud-ouest de la perle de l’Océan-Indien » précise-t-il. Mais cette fin de séjour pour les vacances de la Toussaint va virer au cauchemar.
Une digue pour le protéger
Il est 16h30, quand l’attaque se produit. Tanguy vient de subir la morsure d’un requin d’environ 2 mètres : « En attendant les secours, il fallait mettre en place une digue de sable autour de la victime, pour éviter que les fortes vagues ne déferlent sur lui », raconte l'élu Controis, « Il était très gravement touché, avec une jambe coupée donc, mais aussi une main abîmée, sans doute en ayant voulu se défendre ». Jean-Luc Brault salue dans cet article le courage et la solidarité des amis de la victime. Toujours choqué par la violence de cette scène, hors norme, il s’est réjouit d’apprendre que le jeune homme allait mieux. Mais il n’oubliera jamais ce 26 octobre 2013.
Une digue pour le protéger
Il est 16h30, quand l’attaque se produit. Tanguy vient de subir la morsure d’un requin d’environ 2 mètres : « En attendant les secours, il fallait mettre en place une digue de sable autour de la victime, pour éviter que les fortes vagues ne déferlent sur lui », raconte l'élu Controis, « Il était très gravement touché, avec une jambe coupée donc, mais aussi une main abîmée, sans doute en ayant voulu se défendre ». Jean-Luc Brault salue dans cet article le courage et la solidarité des amis de la victime. Toujours choqué par la violence de cette scène, hors norme, il s’est réjouit d’apprendre que le jeune homme allait mieux. Mais il n’oubliera jamais ce 26 octobre 2013.