CapRequin entame sont quatrième mois d’existence. L’expérience est très satisfaisante. Des smart-drumlines vont être déployées dans les zones d’activités nautiques. Les dernières observations et captures (Ndlr : un marteau et 15 poissons) confirment l’efficacité du système.
Les opposants à la drumlines et plus particulièrement à la pêche des poissons peuvent être rassurés. 91,7% des prises sont remises à l’eau vivante. Le prélèvement de requins tigres ou bouledogues pour l’étude « ciguatera » n’est pas systématique. Les marquages « spaghetti » externe sont généralisés. Des échantillons de peau sont transmis aux laboratoires pour approfondir la connaissance des espèces capturées. Malgré des problèmes techniques ces dernières semaines, les drumlines se montrent efficaces. Peu à peu le lieu de capture est délaissé par les tigres et les bouledogues.
Pannes en séries
CapRequins a été ralenti par deux incidents majeurs. Le moteur du « Wayan », bateau dédié exclusivement à ce programme, a dû être réparé. Le système d’alerte de la drumlines s’est avéré défectueux. Cinq fausses alarmes ont obligé le pêcheur à des déplacements inutiles. Dans le même temps, trois captures ont été découvertes lors de contrôles de routines de la drumlines. Par chance, elles ont été libérées vivantes, mais un emmêlement des lignes a contrarié le déclenchement de l’alerte, obligeant le pêcheur à modifier le montage de ses lignes.
Les requins se méfient des drumlines
Le temps passe et les stations d’écoute acoustique immergées autour des drumlines ont permis de confirmer la très faible fréquentation de la baie de Saint-Paul par les requins. Deux tigres ont été détectés fin Avril et début Mai au large de la zone d’études, ils se déplaçaient à plus de 60 mètres de fonds. La présence d’une femelle bouledogue a été révélée par les stations. Elle a circulé dans le secteur le 8 Mai, période durant laquelle la « smart drumlines » était relevée. Idem, pour une femelle tigre de passage à proximité à des dates similaires alors que le système de pêche n’était plus appâté. En revanche, celle-ci est restée sur la zone plusieurs jours de suite.
La drumlines pour protéger les zones d’activités
L’ensemble de ces données, qui demandent confirmation, encouragent les financeurs de CapRequins, le comité des pêches a déployé des : « « smart drumlines » dans les zones d’activités nautiques » conformément aux étapes définies dans ce programme. Elle va se poursuivre ces deux prochaines semaines, sous l’égide de la mairie de Saint-Paul, par une concertation avec les autres usagers de la mer avant le dépôt par le comité régional des pêches et des élevages marins de La Réunion des demandes d’autorisations administratives ». Cette phase de protection des zones coralliennes où se concentrent les activités nautiques, est attendue avec impatience par les clubs de surf, mais également par tous les acteurs économiques liés au tourisme.
Pannes en séries
CapRequins a été ralenti par deux incidents majeurs. Le moteur du « Wayan », bateau dédié exclusivement à ce programme, a dû être réparé. Le système d’alerte de la drumlines s’est avéré défectueux. Cinq fausses alarmes ont obligé le pêcheur à des déplacements inutiles. Dans le même temps, trois captures ont été découvertes lors de contrôles de routines de la drumlines. Par chance, elles ont été libérées vivantes, mais un emmêlement des lignes a contrarié le déclenchement de l’alerte, obligeant le pêcheur à modifier le montage de ses lignes.
Les requins se méfient des drumlines
Le temps passe et les stations d’écoute acoustique immergées autour des drumlines ont permis de confirmer la très faible fréquentation de la baie de Saint-Paul par les requins. Deux tigres ont été détectés fin Avril et début Mai au large de la zone d’études, ils se déplaçaient à plus de 60 mètres de fonds. La présence d’une femelle bouledogue a été révélée par les stations. Elle a circulé dans le secteur le 8 Mai, période durant laquelle la « smart drumlines » était relevée. Idem, pour une femelle tigre de passage à proximité à des dates similaires alors que le système de pêche n’était plus appâté. En revanche, celle-ci est restée sur la zone plusieurs jours de suite.
La drumlines pour protéger les zones d’activités
L’ensemble de ces données, qui demandent confirmation, encouragent les financeurs de CapRequins, le comité des pêches a déployé des : « « smart drumlines » dans les zones d’activités nautiques » conformément aux étapes définies dans ce programme. Elle va se poursuivre ces deux prochaines semaines, sous l’égide de la mairie de Saint-Paul, par une concertation avec les autres usagers de la mer avant le dépôt par le comité régional des pêches et des élevages marins de La Réunion des demandes d’autorisations administratives ». Cette phase de protection des zones coralliennes où se concentrent les activités nautiques, est attendue avec impatience par les clubs de surf, mais également par tous les acteurs économiques liés au tourisme.