Le meurtre d’Expédit de Tauro-Beaulion, 66 ans, à Montvert-les-Hauts un écart de Saint-Pierre, dépasse l’entendement. René Joie, 36 ans, aurait frappé le compagnon de sa mère avec une marmite, un couteau, avant de l’étrangler et de violer le cadavre.
De nouveaux experts psychiatres vont devoir dire si René Joie, 36 ans, est accessible à une condamnation pénale. Ce marginal de Montvert, dans les hauts de Saint-Pierre, est en détention provisoire pour avoir tué le compagnon de sa mère.
Dans la nuit du 10 au 11 Novembre 2014, il a exécuté Expédit Tauro-Beaulion.
L’homme âgé de 66 ans, partiellement handicapé, dormait quand son bourreau est entré dans sa chambre. Sans qu’il ait le temps de comprendre, une pluie de coups s’abattait sur lui. Sonné et effrayé, il n’est pas parvenu à échapper à son tortionnaire quand celui-ci s’est absenté pour s’armer d’une marmite et d’un couteau de cuisine.
Là, de minuit à deux heures du matin, la victime est devenue le souffre douleur du fils de sa compagne. A coup de poings, de marmite et de couteau, René Joie s’est acharné sur Tauro-Beaulion.
Des contres expertises psychiatriques déterminantes
La mère de René Joie a essayé d’intervenir, d’arrêter son fils dans son délire meurtrier, mais devant le danger elle a fini par fuir.
Elle franchira à nouveau le seuil de la petite case en bois sous-tôles et découvrira le cadavre d’Expédit qu’après le départ du suspect.
Désormais cette triste affaire est entre les mains de la justice. L’examen du corps d’Expédit Tauro-Beaulion a confirmé une crainte du juge. René Joie aurait violé le cadavre de sa victime avant de prendre la fuite.
Pour mémoire, la mère du Saint-Pierrois avait expliqué aux policiers que son fils était instable. Il a déjà été hospitalisé en psychiatrique. Les premières analyses des médecins tendraient à affirmer que le prévenu est responsable de ses actes. Les contre-expertises seront donc déterminantes…
Dans la nuit du 10 au 11 Novembre 2014, il a exécuté Expédit Tauro-Beaulion.
L’homme âgé de 66 ans, partiellement handicapé, dormait quand son bourreau est entré dans sa chambre. Sans qu’il ait le temps de comprendre, une pluie de coups s’abattait sur lui. Sonné et effrayé, il n’est pas parvenu à échapper à son tortionnaire quand celui-ci s’est absenté pour s’armer d’une marmite et d’un couteau de cuisine.
Là, de minuit à deux heures du matin, la victime est devenue le souffre douleur du fils de sa compagne. A coup de poings, de marmite et de couteau, René Joie s’est acharné sur Tauro-Beaulion.
Des contres expertises psychiatriques déterminantes
La mère de René Joie a essayé d’intervenir, d’arrêter son fils dans son délire meurtrier, mais devant le danger elle a fini par fuir.
Elle franchira à nouveau le seuil de la petite case en bois sous-tôles et découvrira le cadavre d’Expédit qu’après le départ du suspect.
Désormais cette triste affaire est entre les mains de la justice. L’examen du corps d’Expédit Tauro-Beaulion a confirmé une crainte du juge. René Joie aurait violé le cadavre de sa victime avant de prendre la fuite.
Pour mémoire, la mère du Saint-Pierrois avait expliqué aux policiers que son fils était instable. Il a déjà été hospitalisé en psychiatrique. Les premières analyses des médecins tendraient à affirmer que le prévenu est responsable de ses actes. Les contre-expertises seront donc déterminantes…