La 4ème session d’assises de l’année débute ce lundi après-midi. Pour commencer cette session, un père comparaît pour le viol de sa fillette pendant plusieurs années. Le procès va durer 2 jours.
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Les faits sont particulièrement sordides. L’homme de 38 ans est accusé de viol aggravé. De 2010 à 2013, il aurait volontairement commis des actes de pénétration sexuelle sur sa petite fille. Et pour parvenir à ses fins, il aurait exercé un chantage sur la fillette.
C’est sa concubine qui le dénonce aux gendarmes en mai 2013 après les révélations de sa fille. Placé en garde-à-vue, le père de famille a reconnu entièrement les faits et a affirmé agir sous le coup de pulsions incontrôlables en relation avec les viols qu’il avait lui-même subis dans son enfance.
Le premier viol aurait eu lieu alors qu’il prenait son bain avec sa fille, âgée de 2 ans à l’époque, et ensuite les abus sont devenus plus fréquents. Le trentenaire s’est dit soulagé après ses aveux. Lui-même s’est interrogé sur ses pulsions. Il avait tenté d’alerter sa compagne ainsi qu’une infirmière du centre hospitalier psychiatrique. Mais personne n’avait pris la mesure de sa déviance. Pendant l’audience, la cour fera état du rapport psychiatrique qui conclut à l’existence d’un état dangereux, au plan sexuel et criminologique, et à une dangerosité psychiatrique.
L’homme qui n’a donc jamais nié les faits encourt 20 ans de réclusion criminelle.
C’est sa concubine qui le dénonce aux gendarmes en mai 2013 après les révélations de sa fille. Placé en garde-à-vue, le père de famille a reconnu entièrement les faits et a affirmé agir sous le coup de pulsions incontrôlables en relation avec les viols qu’il avait lui-même subis dans son enfance.
Le premier viol aurait eu lieu alors qu’il prenait son bain avec sa fille, âgée de 2 ans à l’époque, et ensuite les abus sont devenus plus fréquents. Le trentenaire s’est dit soulagé après ses aveux. Lui-même s’est interrogé sur ses pulsions. Il avait tenté d’alerter sa compagne ainsi qu’une infirmière du centre hospitalier psychiatrique. Mais personne n’avait pris la mesure de sa déviance. Pendant l’audience, la cour fera état du rapport psychiatrique qui conclut à l’existence d’un état dangereux, au plan sexuel et criminologique, et à une dangerosité psychiatrique.
L’homme qui n’a donc jamais nié les faits encourt 20 ans de réclusion criminelle.