La grève des transporteurs se poursuit. Les quatre premières journées de négociations ont échoué. Les chauffeurs routiers de la FNTR bloquent toujours les centrales à béton d’Holcim et Lafarge.
La Fédération Nationale des Transporteurs Routiers de La Réunion (FNTR) ne désarme pas. Après quatre jours de grève, ses adhérents poursuivent le blocus des 6 centrales à béton disséminées sur toute l’île. Les premières discussions s’étant terminées sur un constat d’échec avec les dirigeants des sociétés Holcim et Lafarge, Jean-Bernard Caroupaye a haussé le ton. Il a demandé à ses adhérents de s’installer également devant l’usine de production de béton et à l’entrée des carrières d’extraction de granulats.
Désormais, le chantier de la Nouvelle Route du Littoral, mais également tous les chantiers du BTP de l'île, sont paralysés.
Holcim et Lafarge estiment leurs pertes cumulées à environ 4 million d’Euros par jour.
Le revenu minimum garanti coince
Pourtant, depuis lundi, les négociations entre les donneurs d’ordre et le représentant des routiers ont largement avancé. Reste en suspend le revenu minimum garantie par jour. Les grévistes demandent 380 Euros par camion immobilisé quand les producteurs de ciments proposent 250 Euros. Insuffisant disent les syndicalistes qui envisagent de durcir leur mouvement.
Le bras de fer engagé en début de semaine n’est donc, toujours pas terminé. Un conflit qui retarde d’autant le chantier du siècle.
Désormais, le chantier de la Nouvelle Route du Littoral, mais également tous les chantiers du BTP de l'île, sont paralysés.
Holcim et Lafarge estiment leurs pertes cumulées à environ 4 million d’Euros par jour.
Le revenu minimum garanti coince
Pourtant, depuis lundi, les négociations entre les donneurs d’ordre et le représentant des routiers ont largement avancé. Reste en suspend le revenu minimum garantie par jour. Les grévistes demandent 380 Euros par camion immobilisé quand les producteurs de ciments proposent 250 Euros. Insuffisant disent les syndicalistes qui envisagent de durcir leur mouvement.
Le bras de fer engagé en début de semaine n’est donc, toujours pas terminé. Un conflit qui retarde d’autant le chantier du siècle.