La Ravine à Jacques est située entre le Cap Bernard et la Grande Chaloupe. A la fin du 18eme siècle ce lieu abritait un lazaret. Il accueillait les personnes qui entraient sur l’île pour une quarantaine. La seule façon de protéger la population des épidémies de lèpre de peste de choléra.
La Ravine à Jacques a accueilli le premier lazaret de l’île.
A la fin du 18eme siècle, les navires devaient jeter l’ancre en face de la Ravine à Jacques, et les passagers étaient débarqués à bord de grandes chaloupes.
Un médecin auscultait les arrivants et ceux qui n’étaient pas en bonne santé devaient rester en quarantaine.
Ce lazaret a été très vite abandonné car l’endroit était trop exigu.
Un autre lazaret pouvant héberger un plus grand nombre d’arrivants à été construit dans une ravine plus à l’ouest, qui a gardé le nom de Grande Chaloupe.
Le lazaret de la Ravine à Jacques a accueilli les esclaves atteints de la variole, puis après 1848 les engagés indiens.
Le lazaret de la Grande Chaloupe restauré est devenu un musée, celui de la Ravine à Jacques est tombé dans l’oubli.
Le Komité Eli effectue des recherches sur ce qui reste de ce bâtiment et a fait découvrir ce lieu historique à l'occasion de la journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition.
En images avec Jean-Régis Ramsamy, Thierry Chenayer et Hamada Boura
En interview
A la fin du 18eme siècle, les navires devaient jeter l’ancre en face de la Ravine à Jacques, et les passagers étaient débarqués à bord de grandes chaloupes.
Un médecin auscultait les arrivants et ceux qui n’étaient pas en bonne santé devaient rester en quarantaine.
Ce lazaret a été très vite abandonné car l’endroit était trop exigu.
Un autre lazaret pouvant héberger un plus grand nombre d’arrivants à été construit dans une ravine plus à l’ouest, qui a gardé le nom de Grande Chaloupe.
Le lazaret de la Ravine à Jacques a accueilli les esclaves atteints de la variole, puis après 1848 les engagés indiens.
Le lazaret de la Grande Chaloupe restauré est devenu un musée, celui de la Ravine à Jacques est tombé dans l’oubli.
Le Komité Eli effectue des recherches sur ce qui reste de ce bâtiment et a fait découvrir ce lieu historique à l'occasion de la journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition.
En images avec Jean-Régis Ramsamy, Thierry Chenayer et Hamada Boura
En interview
- Pierrette Boyer, habitante de Ravine à Jacques
- Laurent Hoarea, historien
- Yvrin Rosalie, président Komité Elie
- George Tergemina