La Portoise de 17 ans, auteur du coup de couteau sur sa voisine, après des insultes sur Facebook est en détention provisoire. Elle a été mise en examen pour violence avec arme ayant entraîné une mutilation. Les médecins ont procédé à l’ablation de la rate de son « adversaire ».
La jeune Portoise, auteur du coup de couteau (dimanche) sur sa voisine, a été mise en examen, ce mardi 16 Février 2016, pour violence avec arme ayant entraîné une mutilation.
Les médecins de Saint-Pierre ont, en effet, été contraints de retirer la rate de la victime. L’organe touché par la lame de l’Opinel ne pouvait être sauvé.
Du virtuel au réel
Les réseaux sociaux dans la vie quotidienne des jeunes et moins jeunes est évidente. Facebook, Twitter, Instagram, Periscope sont des lieux d’échange, de partage, mais aussi de conflit.
Dimanche 14 Février 2016 vers 14 heures, le monde virtuel est devenu insupportable pour une jeune de 17 ans. Furieuse d’être « ridiculisée » sur Facebook, par une ancienne amie et voisine, elle n’a pas hésité à régler ses comptes dans le monde réel.
Incarcérée pour la protéger
Mardi, le juge des libertés et de la détention a prononcé le placement en détention provisoire de la mise en cause. A l’annonce de la décision, la suspecte a subitement pris conscience de la gravité de son geste et la triste réalité de sa situation.
Les frêles épaules de la jeune fille, pas encore femme, se sont affaissées.
Comme l’a précisé le procureur de la République au cours de son réquisitoire, cette détention préventive permet aussi de la protéger. La famille de la victime ayant fait part de son intention de se venger…
Les médecins de Saint-Pierre ont, en effet, été contraints de retirer la rate de la victime. L’organe touché par la lame de l’Opinel ne pouvait être sauvé.
Du virtuel au réel
Les réseaux sociaux dans la vie quotidienne des jeunes et moins jeunes est évidente. Facebook, Twitter, Instagram, Periscope sont des lieux d’échange, de partage, mais aussi de conflit.
Dimanche 14 Février 2016 vers 14 heures, le monde virtuel est devenu insupportable pour une jeune de 17 ans. Furieuse d’être « ridiculisée » sur Facebook, par une ancienne amie et voisine, elle n’a pas hésité à régler ses comptes dans le monde réel.
Incarcérée pour la protéger
Mardi, le juge des libertés et de la détention a prononcé le placement en détention provisoire de la mise en cause. A l’annonce de la décision, la suspecte a subitement pris conscience de la gravité de son geste et la triste réalité de sa situation.
Les frêles épaules de la jeune fille, pas encore femme, se sont affaissées.
Comme l’a précisé le procureur de la République au cours de son réquisitoire, cette détention préventive permet aussi de la protéger. La famille de la victime ayant fait part de son intention de se venger…