Le conseil municipal de Saint-Leu a examiné une nouvelle demande d’ouverture d’une carrière à Bois Blanc. La première demande de la SCPR avait eu un avis négatif.
La SCPR qui doit fournir des matériaux pour le chantier de la Nouvelle Route du Littoral a présenté une nouvelle demande d’ouverture de carrière à Bois Blanc sur la commune de Saint-Leu.
La première demande avait reçu un avis négatif.
Le projet avait mobilisé les riverains, et un collectif « touch pas nout roche » s’était créé pour porter la voix des opposants.
Pour Antonia Cadet : « On ne voit pas comment après un premier refus, l’avis pourrait se transformer comme par magie en un avis positif ».
La SCPR présente un projet différent
Cette démarche de la SCPR est possible parce que le préfet n’a pas tranché après le premier avis négatif.
Le premier projet a été tout simplement retiré par l’entreprise elle même.
C’est un nouveau projet qui a été soumis au conseil municipal.
Il devra faire l’objet d’une nouvelle enquête publique.
Le collectif « Touch pas nout Roch » est prêt à mobiliser les Réunionnais et leur demande d’aller donner leur avis lors de l’enquête publique qui débutera bientôt.
Devant l'impossibilité d'ouvrir jusqu'à présent des carrières à La Réunion pour les roches massives, elles ont été importées de Madagascar.
En images avec David Couanon et Valérie Rubis
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La première demande avait reçu un avis négatif.
Le projet avait mobilisé les riverains, et un collectif « touch pas nout roche » s’était créé pour porter la voix des opposants.
Pour Antonia Cadet : « On ne voit pas comment après un premier refus, l’avis pourrait se transformer comme par magie en un avis positif ».
La SCPR présente un projet différent
Cette démarche de la SCPR est possible parce que le préfet n’a pas tranché après le premier avis négatif.
Le premier projet a été tout simplement retiré par l’entreprise elle même.
C’est un nouveau projet qui a été soumis au conseil municipal.
Il devra faire l’objet d’une nouvelle enquête publique.
Le collectif « Touch pas nout Roch » est prêt à mobiliser les Réunionnais et leur demande d’aller donner leur avis lors de l’enquête publique qui débutera bientôt.
Devant l'impossibilité d'ouvrir jusqu'à présent des carrières à La Réunion pour les roches massives, elles ont été importées de Madagascar.
En images avec David Couanon et Valérie Rubis
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