Cette affaire jugée ce jeudi 20 octobre 2016 par la cour d’appel correctionnelle de Saint-Denis donne la nausée. Les protagonistes sont trois femmes de la Rivière-des-Galets qui en sont venues aux mains le 1er Novembre 2015.
Ce jour là, l’accusée est venue s’entretenir de vive voix avec sa tante sur les attouchements auxquels se livre son neveu sur son fils. Devant l’indifférence de son interlocutrice, le ton monte et aux paroles succèdent les actes.
Dans le pugilat, la tante mord violemment le bras et la main sa nièce. En réponse, celle-ci va mordre l’oreille de son adversaire au point de lui en sectionner un morceau.
Elle partage la photo de l’oreille coupée sur Facebook
La bagarre terminée, la jeune sœur de l’accusée, prend en photo le bout d’oreille resté sur le sol et poste le cliché sur Facebook…
En première instance, la trentenaire qui a mordu et coupé l’oreille de sa tante a été condamnée à 6 mois de prison avec sursis et sa sœur, la photographe à 3 mois pour avoir publié la photo.
Les juges rendront leur décision le 17 Novembre 2016, l’avocat des prévenus ayant mis en exergue de nouveaux éléments qui n’excuses pas les accusées, mais permettent d’accréditer la thèse de la légitime défense, concernant la bagarre…
Ce jour là, l’accusée est venue s’entretenir de vive voix avec sa tante sur les attouchements auxquels se livre son neveu sur son fils. Devant l’indifférence de son interlocutrice, le ton monte et aux paroles succèdent les actes.
Dans le pugilat, la tante mord violemment le bras et la main sa nièce. En réponse, celle-ci va mordre l’oreille de son adversaire au point de lui en sectionner un morceau.
Elle partage la photo de l’oreille coupée sur Facebook
La bagarre terminée, la jeune sœur de l’accusée, prend en photo le bout d’oreille resté sur le sol et poste le cliché sur Facebook…
En première instance, la trentenaire qui a mordu et coupé l’oreille de sa tante a été condamnée à 6 mois de prison avec sursis et sa sœur, la photographe à 3 mois pour avoir publié la photo.
Les juges rendront leur décision le 17 Novembre 2016, l’avocat des prévenus ayant mis en exergue de nouveaux éléments qui n’excuses pas les accusées, mais permettent d’accréditer la thèse de la légitime défense, concernant la bagarre…