Pas d’annonce avant la fin mai pour les cafés, bars et restaurant. Fermés depuis un mois et demi au public, certains professionnels optent pour la vente à emporter et les livraisons. Insuffisant pour survivre et surtout pour passer le cap, en attendant d’en savoir plus.
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L’incertitude grandit pour les restaurateurs qui devraient fixés sur la réouverture de leurs établissements d’ici la fin mai. Fermés depuis plus d’un mois et demi, cafés, bars et restaurants attendent avec impatience la décision finale du gouvernement.
Reportage de Laurent Figon à Saint-Denis.
Nombreux sont les restaurants à garder portes closes, et à se demander si leur réouverture se fera en juin ou juillet, voire en septembre. Pas de date, pas plan d’action non plus sur les conditions de réouverture.
Le gouvernement a mis en place des mesures de soutien, un geste salué, mais cependant insuffisant. Le syndicat professionnel, UMIH, demande l’annulation des charges sociales, que les assurances puissent prendre en charge une partie de la perte d’exploitation, et évoque la question des taxes et impôts locaux.
La vente à emporter et les livraisons pour certains
En attendant, certains restaurateurs tentent de s’adapter. L’accueil des clients n’est plus autorisé, mais la vente à emporter reste possible. L’activité s’en trouve tout de même réduite, le nombre de salariés également. Il faut pour cela modifier l’organisation.Reportage de Laurent Figon à Saint-Denis.
Les restaurants sont fermés, et c'est difficile pour les propriétaires et employés
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Nombreux sont les restaurants à garder portes closes, et à se demander si leur réouverture se fera en juin ou juillet, voire en septembre. Pas de date, pas plan d’action non plus sur les conditions de réouverture.
Aider les restaurateurs à passer ce cap
Benoit Vantaux est le Chef cuisinier d’un restaurant dionysien. Avec son équipe, ils imaginent différents scénarios prenant en compte les conditions de sécurité pour les clients, pour les employés ou encore les conséquences de la perte de chiffre d’affaires.
Benoit Vantaux est chef cuisinier, il témoigne des difficultés
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Le gouvernement a mis en place des mesures de soutien, un geste salué, mais cependant insuffisant. Le syndicat professionnel, UMIH, demande l’annulation des charges sociales, que les assurances puissent prendre en charge une partie de la perte d’exploitation, et évoque la question des taxes et impôts locaux.