Les coureurs le savent, le choix se fait aujourd’hui de façon scientifique, avec l’aide ou non de spécialistes. Le but est de courir des dizaines de kilomètres sans dommage.
Fini le temps du choix à la couleur et à l’aspect général de la semelle, ou au coup de coeur pour une marque.
Aujourd’hui il est important de savoir si on a une foulée universelle, si on est pronateur ou supinateur.
Le choix d’une chaussure pour la course de montagne commence par quelques foulées sur un tapis de marche, histoire de voir comment on se déplace.
Le vendeur peut alors en analysant la vidéo, proposer la bonne paire, celle qui permettra de parcourir 160 km sans dommage pour les articulations.
Le coureur peut aussi en se rendant chez un kiné demander une analyse poussée de sa posture de marche et anticiper les problèmes qui arriveront pendant la course.
En images avec Géraldine Blandin et Aurélie Constant.
Aujourd’hui il est important de savoir si on a une foulée universelle, si on est pronateur ou supinateur.
Le choix d’une chaussure pour la course de montagne commence par quelques foulées sur un tapis de marche, histoire de voir comment on se déplace.
Le vendeur peut alors en analysant la vidéo, proposer la bonne paire, celle qui permettra de parcourir 160 km sans dommage pour les articulations.
Le coureur peut aussi en se rendant chez un kiné demander une analyse poussée de sa posture de marche et anticiper les problèmes qui arriveront pendant la course.
En images avec Géraldine Blandin et Aurélie Constant.