L’opposition saint-pauloise conteste l’augmentation de 8,5% des impôts locaux devant le tribunal administratif. Joseph Sinimalé, le maire, a obtenu l’aval du conseil municipal grâce à une majorité deux voix.
Cette hausse des impôts locaux votée le 7 Avril 2016 par le conseil municipal va laisser des traces. L’augmentation de 8,5% a été acceptée grâce à la plus petite des marges, une majorité de deux voix uniquement.
Deux voix qui ne dissimulent pas le malaise, généré par cette décision, dans le camp de Joseph Sinimalé. Dans ce dossier, le maire a essuyé les critiques de son propre camp. Plusieurs de ses adjoints ont pointé du doigt sa gestion municipale et l’explosion du nombre d’employés communaux.
Le maire cherche des fonds
L’opposition a noté : « une dérive budgétaire alimentée par un abus d’embauches électoralistes ».
De son côté, le premier magistrat de la commune justifie cette décision par la baisse des dotations de l’Etat (-7,6 millions d’Euros) et le coût de la réforme scolaire. Si la commune voulait maintenir son niveau d’équipement et ses investissements, elle était obligée d’augmenter les impôts locaux…
Reste à connaître l’avis du juge administratif. Celui-ci se prononce généralement sur la forme et non sur le fond des dossiers.
Le jugement a été mis en délibéré au vendredi 29 juillet.
Deux voix qui ne dissimulent pas le malaise, généré par cette décision, dans le camp de Joseph Sinimalé. Dans ce dossier, le maire a essuyé les critiques de son propre camp. Plusieurs de ses adjoints ont pointé du doigt sa gestion municipale et l’explosion du nombre d’employés communaux.
Le maire cherche des fonds
L’opposition a noté : « une dérive budgétaire alimentée par un abus d’embauches électoralistes ».
De son côté, le premier magistrat de la commune justifie cette décision par la baisse des dotations de l’Etat (-7,6 millions d’Euros) et le coût de la réforme scolaire. Si la commune voulait maintenir son niveau d’équipement et ses investissements, elle était obligée d’augmenter les impôts locaux…
Reste à connaître l’avis du juge administratif. Celui-ci se prononce généralement sur la forme et non sur le fond des dossiers.
Le jugement a été mis en délibéré au vendredi 29 juillet.