Cherche coupeurs de cannes désespérément.
Chaque année, au moment de la campagne sucrière, les exploitants agricoles de l’île ont la même crainte.
Trouver du personnel valeureux, qui accepte de passer des heures sous le soleil, dans le vent ou sous la pluie pour récolter la canne.
Le métier est harassant, il n’attire pas les jeunes, le sabre se passe alors de père en fils.
Philippe Morel qui possède 8 hectares à St-Benoit et Ste-Rose, lance virtuellement un appel aux bonnes volontés.
le reportage de S.H.Peeters et Francis Bourgoin.
Chaque année, au moment de la campagne sucrière, les exploitants agricoles de l’île ont la même crainte.
Trouver du personnel valeureux, qui accepte de passer des heures sous le soleil, dans le vent ou sous la pluie pour récolter la canne.
Le métier est harassant, il n’attire pas les jeunes, le sabre se passe alors de père en fils.
Philippe Morel qui possède 8 hectares à St-Benoit et Ste-Rose, lance virtuellement un appel aux bonnes volontés.
le reportage de S.H.Peeters et Francis Bourgoin.
Reportage : S.H.Peeters - F.Bourgouin - V.Rubis
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