Six personnes ont été interpellées et placées en garde à vue au commissariat Malartic par les policiers de la Sûreté départementale, lundi 12 février 2018. Deux des suspects auraient loué des chambres de leurs villas à quatre prostituées nous apprend le Quotidien de La Réunion.
Lundi matin, les policiers de Saint-Denis investissent une maison du quartier Saint-Jacques à Saint-Denis pour appréhender 6 personnes ; un couple, propriétaire des lieux, et quatre jeunes femmes. Ils agissent sous les directives d'un juge d'instruction qui a été saisi du dossier, en novembre 2017 par le parquet de Saint-Denis.
Depuis plusieurs semaines, déjà, les inspecteurs de la Sûreté départementale s'intéressaient aux allées et venues qui avaient lieu à la nuit tombée dans cette demeure.
Des affaires similaires dans le passé
La justice avait reçu plusieurs plaintes de riverains et voisins de la case, devenue une maison close. Encore fallait-il aux forces de l'ordre, vérifier les accusations avant d'arrêter qui que ce soit. Les éléments recueillis par des heures de planque ont amené le juge d'instruction a agir. Reste à déterminer le rôle de chacun de ce dossier. Savoir, si des intervenants extérieurs doivent être poursuivis avant de renvoyer les auteurs devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis. En 2012 dans une affaire, similaire, les propriétaires des lieux qui servaient d'hôtel de passe, avaient perdu leur immeuble.
Depuis plusieurs semaines, déjà, les inspecteurs de la Sûreté départementale s'intéressaient aux allées et venues qui avaient lieu à la nuit tombée dans cette demeure.
Des affaires similaires dans le passé
La justice avait reçu plusieurs plaintes de riverains et voisins de la case, devenue une maison close. Encore fallait-il aux forces de l'ordre, vérifier les accusations avant d'arrêter qui que ce soit. Les éléments recueillis par des heures de planque ont amené le juge d'instruction a agir. Reste à déterminer le rôle de chacun de ce dossier. Savoir, si des intervenants extérieurs doivent être poursuivis avant de renvoyer les auteurs devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis. En 2012 dans une affaire, similaire, les propriétaires des lieux qui servaient d'hôtel de passe, avaient perdu leur immeuble.