Aujourd’hui dans 90 villes en France mais aussi dans plusieurs pays d'Europe, on marche pour le climat. Un événement relayé dans l’île par le collectif Youth for Climate Réunion. Les étudiants se sont retrouvés ce matin aux Roches Noires.
Aujourd’hui dans 90 villes en France mais aussi en Europe, on marche pour le climat. Un événement relayé dans l’île par le collectif Youth for Climate Réunion. Ce vendredi 24 Mai est lancé en effet, un nouvel appel à la « grève pour le futur » dans toute la France et dans plusieurs pays d’Europe pour attirer l’attention sur les dangers que court la planète.
Ces mobilisation prennent de l’ampleur avec des cortèges qui rassemblent aujourd’hui des citoyens, des associations, des syndicats, des politiques emboîtant le pas aux étudiants. Rappelons que le mouvement est né suite à l’appel à la grève scolaire lancée par une étudiante Suédoise Greta Thunberg en 2018.
A la Réunion, des étudiants se sont retrouvés ce matin aux Roches Noires. Une centaine de jeunes qui arboraient des pancartes aux slogans dénonciateurs, ils étaient encadrés pour cette nouvelle mobilisation qui devait les conduire à la plage de l'Ermitage." la révolution c'est nous qui la portons" dit cette pancarte. "Si la terre était une cathédrale, on l'aurait déjà sauvée" dit cette autre" pour protester contre un devenir plus qu'incertain pour la planète.
Le reportage de Thierry Chapuis
Ces mobilisation prennent de l’ampleur avec des cortèges qui rassemblent aujourd’hui des citoyens, des associations, des syndicats, des politiques emboîtant le pas aux étudiants. Rappelons que le mouvement est né suite à l’appel à la grève scolaire lancée par une étudiante Suédoise Greta Thunberg en 2018.
A la Réunion, des étudiants se sont retrouvés ce matin aux Roches Noires. Une centaine de jeunes qui arboraient des pancartes aux slogans dénonciateurs, ils étaient encadrés pour cette nouvelle mobilisation qui devait les conduire à la plage de l'Ermitage." la révolution c'est nous qui la portons" dit cette pancarte. "Si la terre était une cathédrale, on l'aurait déjà sauvée" dit cette autre" pour protester contre un devenir plus qu'incertain pour la planète.
Le reportage de Thierry Chapuis