Plutôt incinération ou plutôt inhumation, depuis une trentaine d’années les Réunionnais ont le choix pour leurs défunts.
•
Sur les 4000 décès par an, la grande majorité des défunts est inhumée.
L’affluence dans les cimetières pour la Toussaint souligne la préférence pour cette pratique à La Réunion.
Deux centres de crémation sont implantés dans l’île. Le plus ancien à Saint-Denis, à la Commune Prima, l’autre à la Ligne Paradis à Saint-Pierre.
Si la crémation se développe, elle reste minoritaire.
Les Réunionnais seraient en phase avec le Pape François qui a laissé entendre sa préférence pour l’inhumation.
Le père Grondin, curé de la paroisse du Chaudron rappelle que cela de change rien pour les croyants :
« L’incinération n’est qu’une accélération du processus de décomposition du corps, nous deviendrons poussière après l’incinération comme après l’inhumation, cela n’empêchera pas la résurrection. »
En images avec Rahabia Issa, Thierry Chenayer et Valérie Philogène.
L’affluence dans les cimetières pour la Toussaint souligne la préférence pour cette pratique à La Réunion.
Deux centres de crémation sont implantés dans l’île. Le plus ancien à Saint-Denis, à la Commune Prima, l’autre à la Ligne Paradis à Saint-Pierre.
Si la crémation se développe, elle reste minoritaire.
Les Réunionnais seraient en phase avec le Pape François qui a laissé entendre sa préférence pour l’inhumation.
Le père Grondin, curé de la paroisse du Chaudron rappelle que cela de change rien pour les croyants :
« L’incinération n’est qu’une accélération du processus de décomposition du corps, nous deviendrons poussière après l’incinération comme après l’inhumation, cela n’empêchera pas la résurrection. »
En images avec Rahabia Issa, Thierry Chenayer et Valérie Philogène.