La remise à l’eau du voilier échoué dimanche dernier au niveau du Port Ouest a duré une bonne partie de la nuit. La navigatrice Susan Hubert est soulagée, son embarcation n’a pas subi de dégâts importants
" Nous avons survécu mon bateau et moi, c'est le plus important " Susan Herbert a enfin rejoint la nuit dernière le port de Plaisance, où son voilier et elle sont maintenant en sécurité.
Positionner tout d'abord le Néhaj à la verticale n'a pas été une tâche facile. L'entreprise qui a travaillé toute la nuit pour remettre le voilier à flot, parle " d'une intervention délicate ".
L'opération de levage et de tractage de l'embarcation de 16 tonnes et de 12 mètres de haut a duré presque 10 heures.
Le bateau conçu par la navigatrice elle même, architecte de profession, n'a pas de prise d'eau, la coque a cependant été déformée. La globe-trotteuse d'origine allemande, s'est retrouvée en difficulté dans la nuit de dimanche à lundi en raison de la forte houle, du côté du port de la Pointe des galets. Le Néhaj s'est échoué.
Une première opération a consisté à le ramener sur le sable.
Susan Hubert est donc restée plusieurs nuits sur son bateau couché sur le flanc, sans pouvoir trouver le sommeil. Elle a pu enfin prendre un peu de repos. Pour ce qui est de repartir en mer, la navigatrice précise que ce n'est pas pour instant " le plus important ".
Le reportage de Céline Rolland
Positionner tout d'abord le Néhaj à la verticale n'a pas été une tâche facile. L'entreprise qui a travaillé toute la nuit pour remettre le voilier à flot, parle " d'une intervention délicate ".
L'opération de levage et de tractage de l'embarcation de 16 tonnes et de 12 mètres de haut a duré presque 10 heures.
Le bateau conçu par la navigatrice elle même, architecte de profession, n'a pas de prise d'eau, la coque a cependant été déformée. La globe-trotteuse d'origine allemande, s'est retrouvée en difficulté dans la nuit de dimanche à lundi en raison de la forte houle, du côté du port de la Pointe des galets. Le Néhaj s'est échoué.
Une première opération a consisté à le ramener sur le sable.
Susan Hubert est donc restée plusieurs nuits sur son bateau couché sur le flanc, sans pouvoir trouver le sommeil. Elle a pu enfin prendre un peu de repos. Pour ce qui est de repartir en mer, la navigatrice précise que ce n'est pas pour instant " le plus important ".
Le reportage de Céline Rolland