L'homme, d'une quarantaine d'années, avait été interpellé mercredi 12 février sur Saint-Pierre et Miquelon par les gendarmes en parallèle à plusieurs perquisitions successives entamées au petit matin dans le quartier des Graves : à son domicile, sur un chantier en cours de travaux, sur son lieu de travail à la Caisse de Prévoyance Sociale, mais aussi dans un hangar de celle-ci (où des scellés ont été apposés) ou encore des box d'appartements loués par la CPS pour des salariés.
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À l'issue d'une garde à vue prolongée, comme le permettent les instructions dans le cadre d'affaires de drogue, il a été mis en examen pour faits de trafic de stupéfiants. Sur la base d'indices graves et concordants, le juge de la liberté et de la détention a prononcé sa mise en détention provisoire. Celle-ci peut être d'une période maximale de 4 mois, renouvelable.
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Le début de l'affaire remonte au 23 décembre dernier quand un premier homme, depuis incarcéré, avait été arrêté à l'arrivée du ferry en provenance de Fortune (Terre-Neuve et Labrador) avec 1 kilo de cocaïne à bord d'un véhicule qui ne lui appartenait pas.