La semaine européenne de la vaccination se poursuivra jusqu'au 30 avril. Objectif : mieux faire connaitre les enjeux de la vaccination. Le coup d’envoi a été donné dans l’ouest à Saint-Laurent-du-Maroni. Dès 7h, les parents étaient nombreux avec leurs jeunes enfants.
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Bébé vient de se faire piquer et pleure : un moment pas toujours apprécié par les plus petits. A l’occasion de la semaine européenne de la vaccination, les parents sont nombreux à profiter de ces séances gratuites.
L’opération se déroule simultanément dans 200 pays du monde. Des séances de vaccination, mais aussi des stands d’informations et des jeux autour de la thématique. L’objectif premier est d’accroître la couverture vaccinale.
En Guyane, cette couverture est en-deçà des niveaux permettant d’éviter l’apparition d’épidémies. L'opération était donc très attendue par les professionnels de santé. Depuis le 1er janvier 2018, la vaccination des nourrissons âgés de moins de 2 ans qui comportait jusque-là 3 vaccins obligatoires et 8 vaccins recommandés est devenue obligatoire pour les 11 maladies concernées.
Si les parents dans l’ensemble ne montrent pas de réticences selon ce medecin de la PMI, il reste que des moyens supplémentaires n’ont pas été octroyés pour ces nouvelles missions. En une matinée, c’est près d’une centaine de mises qui a été réalisée.
Après la rencontre entre la directrice de l’ARS et les professionnels de santé de l’ouest, des opérations de ce type en itinérance sur le Haut Maroni, sont envisagées.
L’opération se déroule simultanément dans 200 pays du monde. Des séances de vaccination, mais aussi des stands d’informations et des jeux autour de la thématique. L’objectif premier est d’accroître la couverture vaccinale.
Des moyens supplémentaires toujours en attente
En Guyane, cette couverture est en-deçà des niveaux permettant d’éviter l’apparition d’épidémies. L'opération était donc très attendue par les professionnels de santé. Depuis le 1er janvier 2018, la vaccination des nourrissons âgés de moins de 2 ans qui comportait jusque-là 3 vaccins obligatoires et 8 vaccins recommandés est devenue obligatoire pour les 11 maladies concernées.
Si les parents dans l’ensemble ne montrent pas de réticences selon ce medecin de la PMI, il reste que des moyens supplémentaires n’ont pas été octroyés pour ces nouvelles missions. En une matinée, c’est près d’une centaine de mises qui a été réalisée.
Après la rencontre entre la directrice de l’ARS et les professionnels de santé de l’ouest, des opérations de ce type en itinérance sur le Haut Maroni, sont envisagées.