Le président de la Polynésie française, Édouard Fritch, est allé mardi à la rencontre de six groupes parlementaires au Sénat, à Paris. Avec le président de l’assemblée et des parlementaires, il défend la version du toilettage du statut de la Polynésie proposée par sa majorité.
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« Nous ne sommes pas ici pour demander des compétences supplémentaires mais nous voulons rendre notre statut plus efficient », a martelé Édouard Fritch auprès des représentants de six groupes parlementaires au Sénat. Le président de la Polynésie a été reçu successivement par Thani Mohamed Soilihi, vice-président du groupe La République en marche (LREM), Éliane Assassi, du groupe communiste républicain citoyen et écologiste, Claude Malhuret président du groupe Les indépendants Républiques et territoires, Jean-Claude Requier, président du groupe rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE), Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains et enfin Hervé Marseille, Président du groupe Union Centriste.
Selon le communiqué de la présidence, à chaque fois, Édouard Fritch a souligné qu’il ne venait pas demander une évolution institutionnelle, mais que le statut colle aux réalités polynésiennes.
Lors de ces entretiens, le président de la Polynésie était accompagné de Gaston Tong Sang, président de l’assemblée, de la sénatrice Lana Tetuanui, du sénateur Nuihau Laurey, et des députées Maina Sage et Nicole Sanquer.
Demain, mercredi, ils seront reçus par Annick Girardin, la ministre des Outre-mer.
Le projet de loi organique modifiant le statut de la Polynésie française sera examiné au Sénat le 13 février. La semaine précédente, le 6 février, le texte sera examiné par la commission des lois du Sénat. Avant cela, le président de la Polynésie française veut convaincre les sénateurs de tenir compte des modifications apportées au texte par le Tapura. Les élus de la majorité proposent 11 amendements et 24 nouveaux articles sur un texte qui en compte 18, initialement.
Selon le communiqué de la présidence, à chaque fois, Édouard Fritch a souligné qu’il ne venait pas demander une évolution institutionnelle, mais que le statut colle aux réalités polynésiennes.
Lors de ces entretiens, le président de la Polynésie était accompagné de Gaston Tong Sang, président de l’assemblée, de la sénatrice Lana Tetuanui, du sénateur Nuihau Laurey, et des députées Maina Sage et Nicole Sanquer.
Demain, mercredi, ils seront reçus par Annick Girardin, la ministre des Outre-mer.
Le projet de loi organique modifiant le statut de la Polynésie française sera examiné au Sénat le 13 février. La semaine précédente, le 6 février, le texte sera examiné par la commission des lois du Sénat. Avant cela, le président de la Polynésie française veut convaincre les sénateurs de tenir compte des modifications apportées au texte par le Tapura. Les élus de la majorité proposent 11 amendements et 24 nouveaux articles sur un texte qui en compte 18, initialement.