Dernier jour avant que le nouveau contrôle technique n’entre en vigueur. A partir du dimanche 20 mai, l’examen des véhicules devient encore plus strict et donc plus cher.
Ce samedi matin, et depuis quelques jours déjà, c’est le rush dans les centres de contrôle technique de l’île. Il faut dire qu’à partir du 20 mai, date fixée par le gouvernement pour faire appliquer la mesure émanant d’une directive européenne de 2014, le nouveau contrôle technique entre en vigueur.
Un examen plus minutieux encore, qui comptera désormais 133 points de vérification contre 124 auparavant, et qui pourra donner lieu à des sanctions. Plus de 600 défaillances potentielles seront ainsi couvertes. Selon le type de défaillances, le véhicule pourrait être soumis à des réparations immédiates avec une contre-visite dans les 24 heures, sans quoi il serait immobilisé et interdit de circulation, et une amende de 135 euros serait appliquée.
Trois niveaux de défaillance ont pour cela été définis : mineures, majeures et critiques. Les mineures sont simplement signalées et sans obligation de réparer, les majeures imposent en revanche des réparations et une contre-visite dans un délai de 2 mois, comme auparavant. C’est dans le cas de défaillances critiques que le véhicule est risque l’immobilisation.
Mais le changement est aussi pécuniaire. Ainsi, l’examen de contrôle technique voit son prix augmenter à près de 89 euros, et désormais les contre-visites deviennent payantes. Autant dire que nombreux sont les automobilistes à faire contrôler leur véhicule avant que la mesure ne passe.
Le reportage de Maxime Bonnet et Aurélie Constant.
Un examen plus minutieux encore, qui comptera désormais 133 points de vérification contre 124 auparavant, et qui pourra donner lieu à des sanctions. Plus de 600 défaillances potentielles seront ainsi couvertes. Selon le type de défaillances, le véhicule pourrait être soumis à des réparations immédiates avec une contre-visite dans les 24 heures, sans quoi il serait immobilisé et interdit de circulation, et une amende de 135 euros serait appliquée.
Trois niveaux de défaillance ont pour cela été définis : mineures, majeures et critiques. Les mineures sont simplement signalées et sans obligation de réparer, les majeures imposent en revanche des réparations et une contre-visite dans un délai de 2 mois, comme auparavant. C’est dans le cas de défaillances critiques que le véhicule est risque l’immobilisation.
Mais le changement est aussi pécuniaire. Ainsi, l’examen de contrôle technique voit son prix augmenter à près de 89 euros, et désormais les contre-visites deviennent payantes. Autant dire que nombreux sont les automobilistes à faire contrôler leur véhicule avant que la mesure ne passe.
Le reportage de Maxime Bonnet et Aurélie Constant.
Reportage
•