La startup réunionnaise Exodata gère le parc de « vélibs » de Marrakech

Lancement réussi pour le réseau de vélibs de Marrakech à l’occasion de la COP22. 300 vélos, gérés de La Réunion, sont à la disposition des participants au sommet et des habitants de la plus grande ville du Maroc.
A Marrakech, on dit « médina-bike » pour désigner un vélo proposé en libre-service.  
Ce système, qui permet de réduire l’empreinte écologique, est déployé depuis plusieurs années dans  les grandes villes françaises et européennes.
Le service du vélo en location, d’une base à une autre, s’implante pour la première fois en Afrique.
Les vélos et les stations  autonomes en énergie ont été installés par la société française Smoove.
 
Une gestion à distance

Et c’est une jeune entreprise réunionnaise, Exodata, qui héberge et supervise, la gestion informatique du parc de vélos en location.
300 vélos connectés, mis à la disposition des participants de la COP22, sont suivis grâce à Internet, à partir de Saint-Denis.
La socièté Exodata, reçoit en temps réel les informations sur l’état des vélos, leur utilisation, le taux de remplissage des stations.
Des informations traitées à La Réunion et qui permettent à l’opérateur sur place d’optimiser la maintenance du parc de « médina-bake »
 

Une startup péi participe à distance à une grande manifestation internationale
Les dirigeants d'Exodata ne comptent pas en rester là.
Après Marrakech, Moscou, Helsinki et Vancouver, d’autres villes dans le monde auront des vélos en libre-service gérés de La Réunion.
 
Exodata à Saint-Denis