Coronavirus : la diaspora de Saint-Pierre et Miquelon raconte son confinement [épisode 7]

A cause du coronavirus, ils sont loin de leur famille, de leurs amis. Confinés et isolés, des membres de la diaspora de Saint-Pierre et de Miquelon actuellement en France métropolitaine ou à l'étranger nous livrent leur quotidien et leurs recettes pour tenir.
Chacun le mesure, le confinement, ça n'est pas facile. Et encore moins quand on se trouve à des milliers de kilomètres de son cercle familial et social. Nous vous proposons une série de témoignages de Saint-Pierrais et Miquelonnais qui s'expriment sur leur quotidien. C'est aussi notre moyen de garder le contact.
 

Subir la crise économique à Bali

Installé à Bali en Indonésie, Igor Leroux subit de manière directe la crise du coronavirus. Le Saint-Pierrais se retrouve en effet en recherche d'emploi après avoir été libéré par son précédent employeur qui anticipait les conséquences économiques de cette crise sanitaire.
 

"L'impact du coronavirus c'est aussi un impact économique." - Igor Leroux

 
©saintpierremiquelon


Journaliste en Nouvelle-Calédonie

Pour Gaël Detcheverry, journaliste chez nos confrères de Nouvelle-Calédonie la 1ère, l'impact de la crise se fait moins sentir. Tout comme sa femme infirmière, il continue à exercer son métier quotidiennement et subit moindrement les effets du confinement. Un confinement qui fera l'objet de mesures d'assouplissements à partir du 20 avril en Nouvelle-Calédonie.
 

"À partir du 20 avril, normalement le gouvernement devrait organiser un confinement adapté." - Gaël Detcheverry

 
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