Plus d'un mois après le début de l'opération Ravenel, c'est un nouvel équipement qui est arrivé sur le territoire pour espérer retrouver la trace de ce chalutier disparu en mer en 1962.
Le Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines (DRASSM) a dépêché sur place un ROV, un robot sous-marin capable de plonger à 100 mètres de profondeur pour filmer les zones qui pourraient abriter l'épave du navire autour de l'archipel.
Deux drones pour un seul objectif
Embarqués à bord de la vedette de la SNSM, une archéologue et un ingénieur géophysicien sont chargés de le faire plonger aux endroits que le Drix a détectés au cours de ses nombreux passages en surface pour cartographier les reliefs des fonds marins.
Lorsque le drone flottant repère des anomalies, le drone sous-marin va vérifier à l'aide de ses caméras s'il peut s'agir d'un morceau de cette épave d'une trentaine de mètres de longueur que tout l'archipel de Saint-Pierre et Miquelon espère trouver.
Pour en savoir plus sur le fonctionnement de cette mission, Delphine Jeanneau a interrogé Cécile Sauvage et Alexis Rochat du DRASSM dans notre journal télévisé.