À Saint-Brieuc, en Bretagne, une crêperie très réputée fait parler d'elle dans la presse locale et sur les réseaux sociaux. La patronne : Christelle Disnard-Lefeuvre est Miquelonnaise. Elle est aux commandes de sa petite affaire depuis 17 ans déjà.
Le rythme est toujours soutenu dans la crêperie de Christelle Disnard-Lefeuvre, à Saint-Brieuc. Seule en cuisine et en salle, la patronne, originaire de Miquelon, ne s'arrête jamais pour servir sa trentaine de clients par service. Depuis 17 ans, elle tient sa crêperie comme une cheffe.
Christelle était employée dans cette crêperie avant de reprendre l'affaire en 2003. Elle se souvient : "J'ai eu la chance que la patronne me laisse la crêperie toute seule le soir. Et on prend vite de bonnes habitudes."
"C'est ma crêperie préférée"
Articles de presse élogieux, commentaires positifs des clients sur les réseaux sociaux : le restaurant a une belle réputation à Saint-Brieuc. Ici, les clients sont souvent des habitués.
Quarante crêpes et galettes sont affichées au menu du restaurant. "Ici, tout est fait traditionnellement, précise Christelle. Je fais ma pâte à la main, je fais tout à la demande." La patronne prend soin des assiettes mais aussi de ses clients comme Hervé, qui vient depuis dix ans : "le soir, en général, je prends la "trio roquefort"; c'est une trois fromages, mais pour moi elle la fait au roquefort. C'est ma galette".
Quand elle a du temps pour elle, Christelle pratique l'équitation avec son mari Michel, grand amateur de chevaux. Avec leur fils Gabin, ils profitent de la nature et des animaux en famille. Le couple possède d'ailleurs cinq chevaux.
Christelle reste très attachée à ses origines. Dans son restaurant trônent des photos, des cadres et des drapeaux de l'archipel. Elle ne cache pas sa fierté d'être Miquelonnaise : "Ça plaît beaucoup à mes clients qui s'intéressent aux îles Saint-Pierre et Miquelon. Ça leur donne envie d'aller visiter alors je donne des petits flyers, je fais un peu de pub pour là-bas". La restauratrice n'envisage pas un retour au pays pour l'instant. Mais dans un coin de sa tête, elle a l'idée d'ouvrir un jour une crêperie sur l'archipel.
Le reportage de Claudio Arthur et Claude Heudes à Saint-Brieuc :
"J'ai des coups de chaud, ça va je gère. C'est un peu sportif par moment, j'avoue. Mais une galette, c'est vite fait."
Christelle était employée dans cette crêperie avant de reprendre l'affaire en 2003. Elle se souvient : "J'ai eu la chance que la patronne me laisse la crêperie toute seule le soir. Et on prend vite de bonnes habitudes."
"C'est ma crêperie préférée"
Articles de presse élogieux, commentaires positifs des clients sur les réseaux sociaux : le restaurant a une belle réputation à Saint-Brieuc. Ici, les clients sont souvent des habitués. "Depuis que je viens ici, j'ai beaucoup de difficultés à aller ailleurs parce que les crêpes et les galettes sont vraiment très très bonnes. Elle fait toutes ses pâtes à la main et on le ressent. (...) En tant que Bretonne, c'est ma crêperie préférée. "
Quarante crêpes et galettes sont affichées au menu du restaurant. "Ici, tout est fait traditionnellement, précise Christelle. Je fais ma pâte à la main, je fais tout à la demande." La patronne prend soin des assiettes mais aussi de ses clients comme Hervé, qui vient depuis dix ans : "le soir, en général, je prends la "trio roquefort"; c'est une trois fromages, mais pour moi elle la fait au roquefort. C'est ma galette".
Une passion de jeunesse pour les chevaux
Quand elle a du temps pour elle, Christelle pratique l'équitation avec son mari Michel, grand amateur de chevaux. Avec leur fils Gabin, ils profitent de la nature et des animaux en famille. Le couple possède d'ailleurs cinq chevaux.
"C'est comme ça qu'on s'est connu. Ça m'a redonné goût au cheval. Ça me rappelle ma jeunesse à Miquelon : on était un peu casse-coups sur les chevaux. On n'avait peur de rien !"
Attachée à ses racines miquelonnaises
Christelle reste très attachée à ses origines. Dans son restaurant trônent des photos, des cadres et des drapeaux de l'archipel. Elle ne cache pas sa fierté d'être Miquelonnaise : "Ça plaît beaucoup à mes clients qui s'intéressent aux îles Saint-Pierre et Miquelon. Ça leur donne envie d'aller visiter alors je donne des petits flyers, je fais un peu de pub pour là-bas". La restauratrice n'envisage pas un retour au pays pour l'instant. Mais dans un coin de sa tête, elle a l'idée d'ouvrir un jour une crêperie sur l'archipel.
Le reportage de Claudio Arthur et Claude Heudes à Saint-Brieuc :