Une femme de 36 ans a accouché au commissariat de Saint-André dans la nuit de samedi à dimanche. Victime de contractions, elle était venue demander de l’aide, mais l’enfant est venu au monde avant l’arrivée des sapeurs-pompiers.
Une policière saint-andréenne se souviendra longtemps de cette garde du samedi 24 Septembre 2016. Il est un peu plus de minuit quand, une femme d’origine comorienne se présente au commissariat. Elle se plaint de maux de ventre, mais ne parvient pas à expliquer qu’elle est sur le point d’accoucher.
Sandrine, 38 ans, elle-même mère de deux enfants, finit par comprendre et installe femme dans une, pièce à l’abri des regards.
Là, elle se rend compte que l’enfant est sur le point de naître. Elle enfile des gants stériles et parvient à dégager la tête, puis une épaule du nouveau né.
Sauver deux vies !
Il n’est pas encore une heure du matin, les cris du petit garçon résonnent entre les murs du poste de police.
Non sans une pointe de fierté, la représentante des forces de l’ordre se dit heureuse d’avoir participé à cet heureux évènement : « Je n’avais pas le choix. J’avais de lointains souvenirs de mes accouchements mais je n’ai pas hésité. Il fallait sauver deux vies ».
Finalement les ambulanciers sont arrivés dix minutes plus tard et ont transporté, la maman et son bébé à l’hôpital de Saint-Benoît. Avant d’être transporté vers le lieu où son enfant aurait dû voir le jour, la mère a longuement remercié la policière.
Reportage : Marie-Ange Frassati Montage : Dany Rosamel
Sandrine, 38 ans, elle-même mère de deux enfants, finit par comprendre et installe femme dans une, pièce à l’abri des regards.
Là, elle se rend compte que l’enfant est sur le point de naître. Elle enfile des gants stériles et parvient à dégager la tête, puis une épaule du nouveau né.
Sauver deux vies !
Il n’est pas encore une heure du matin, les cris du petit garçon résonnent entre les murs du poste de police.
Non sans une pointe de fierté, la représentante des forces de l’ordre se dit heureuse d’avoir participé à cet heureux évènement : « Je n’avais pas le choix. J’avais de lointains souvenirs de mes accouchements mais je n’ai pas hésité. Il fallait sauver deux vies ».
Finalement les ambulanciers sont arrivés dix minutes plus tard et ont transporté, la maman et son bébé à l’hôpital de Saint-Benoît. Avant d’être transporté vers le lieu où son enfant aurait dû voir le jour, la mère a longuement remercié la policière.
Reportage : Marie-Ange Frassati Montage : Dany Rosamel