Depuis le malaise du basketteur guadeloupéen, la famille du basket mais aussi de nombreux anonymes se mobilisent pour soutenir le joueur et sa famille.
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"Rupert Family, on est avec vous". La photo de la banderole est en couverture de la page de soutien à Thierry Rupert. Témoin de la mobilisation de la famille du basket, unanimement touchée par le drame que connait le basketteur. Victime d’un malaise le 15 mai lors d’un entrainement avec son club de Dijon, le joueur de Pro A, insuffisant cardiaque, est depuis près de trois mois plongé dans le coma.
Sur le web, ils sont plus de 5 000 à "aimer" la page Facebook intitulée "Page de soutien pour Thierry Rupert et sa famille" et restent ainsi informés des dernières nouvelles, pourtant peu réjouissantes. Les médecins ont un temps envisagé de le débrancher, une option impossible à envisager pour sa femme Elham. Cette dernière doit de plus faire face à des considérations plus matérielles. Si le malaise de Thierry Rupert s’est déclaré sur un parquet d’entrainement de son club de Dijon, la Sécurité sociale refuse de le considérer comme un accident de travail. Et donc de verser à sa femme et ses enfants les indemnités compensatoires.
Le monde du basket-ball ne s’est pas montré insensible au sort du joueur. Depuis, les témoignages de soutien affluent, sur le web et plus concrètement dans des initiatives lancées par d’autres joueurs de basket-ball. La mobilisation a pris, à tel point qu’Elham Rupert s’est sentie obligée de faire une mise au point dans le journal l’Equipe, rappelant qu’elle n’avait en aucun cas appelé à des dons du grand public. "Je ne fais pas la manche. J’accepte les gestes des gens du basket, car c’est la famille de Thierry. (…) Il n’est pas question que je me fasse de l’argent sur ce qui nous arrive. J’ai encore à manger et à boire ! Je n’ai pas envie que les gens me plaignent !", expliquait-elle.
Pas de dons sur des initiatives personnelles donc, mais des soirées organisées en son hommage, à l’instar du club du CSP Limoges qui a récupéré 10 000 euros fin septembre à l’issue d’un match les opposant à Boulazac. Sur le web, hormis la page Facebook qui recueille quotidiennement les nombreux messages de soutien et les articles publiés sur le sort du jouer et de sa famille, sur le site de micro blogging Twitter de nombreux messages de soutien pour Thierry Ruppert son publiés. Tous veulent encore croire au retour du joueur parmi ses proches. "Qu’il fasse du basket ou pas, je m’en tape. Ce que je veux, c’est récupérer mon mari, le père de mes enfants", implorait Elham Ruppert dans l’Equipe.
Sur le web, ils sont plus de 5 000 à "aimer" la page Facebook intitulée "Page de soutien pour Thierry Rupert et sa famille" et restent ainsi informés des dernières nouvelles, pourtant peu réjouissantes. Les médecins ont un temps envisagé de le débrancher, une option impossible à envisager pour sa femme Elham. Cette dernière doit de plus faire face à des considérations plus matérielles. Si le malaise de Thierry Rupert s’est déclaré sur un parquet d’entrainement de son club de Dijon, la Sécurité sociale refuse de le considérer comme un accident de travail. Et donc de verser à sa femme et ses enfants les indemnités compensatoires.
Le monde du basket-ball ne s’est pas montré insensible au sort du joueur. Depuis, les témoignages de soutien affluent, sur le web et plus concrètement dans des initiatives lancées par d’autres joueurs de basket-ball. La mobilisation a pris, à tel point qu’Elham Rupert s’est sentie obligée de faire une mise au point dans le journal l’Equipe, rappelant qu’elle n’avait en aucun cas appelé à des dons du grand public. "Je ne fais pas la manche. J’accepte les gestes des gens du basket, car c’est la famille de Thierry. (…) Il n’est pas question que je me fasse de l’argent sur ce qui nous arrive. J’ai encore à manger et à boire ! Je n’ai pas envie que les gens me plaignent !", expliquait-elle.
Pas de dons sur des initiatives personnelles donc, mais des soirées organisées en son hommage, à l’instar du club du CSP Limoges qui a récupéré 10 000 euros fin septembre à l’issue d’un match les opposant à Boulazac. Sur le web, hormis la page Facebook qui recueille quotidiennement les nombreux messages de soutien et les articles publiés sur le sort du jouer et de sa famille, sur le site de micro blogging Twitter de nombreux messages de soutien pour Thierry Ruppert son publiés. Tous veulent encore croire au retour du joueur parmi ses proches. "Qu’il fasse du basket ou pas, je m’en tape. Ce que je veux, c’est récupérer mon mari, le père de mes enfants", implorait Elham Ruppert dans l’Equipe.