La tradition des combats de coqs est toujours très présente en Guadeloupe. Des combats avec des coqs de Martinique sont organisés pour étendre le rayonnement de cette pratique.
Les combats de coqs font partie de la tradition en Guadeloupe. D’aucuns peuvent critiquer cette pratique jugée quelque peu violente, elle perdure. Avec ses règles et ses obligations.
Il y a, en Guadeloupe, de nombreux « pitakoq », des petites arènes ou gallodromes où se jouent des combats de coqs dressés pour l’occasion. Ces combats, largement décriés, parce que souvent très violents, perdurent et même s’organisent de plus en plus.
Des "pits" existent en différents endroits de Guadeloupe. Les anciens continuent à élever les coqs, à les nourrir, à les entraîner, pour des combats qui peuvent parfois aller jusqu'à la mort. Aujourd'hui, les combats peuvent aussi s'arrêter si l'un des participants décide de quitter le "ring". Autrement dit, si l'un des coqs donne le dos à son adversaire et fuit le combat.
Les traditionnalistes font tout ce qu’ils peuvent pour attirer l’attention sur les gallodromes. Des combats sont organisés, ouverts à tous, avec l’espoir que le regard de la critique changera. Cette fois-ci, des jeunes sont associés aux manifestations. Ils doivent prendre la relève et susciter l’intérêt de leurs congénères. Parce que la tradition doit perdurer et les combats continuer. Dans ce reportage de Yasmina Yacou et Ingrid Sossé Ismain, vous verrez que la tradition se transmet et que la relève peut être assurée, dans tout l’archipel, avec la présence de Saintois.
Évidemment, les combats sont officiellement organisés pour le simple jeu. Mais l'on sait bien que des "intérêts croisés" interviennent. L'argent est un élément souvent déterminant pour les matches organisés avec beaucoup de sérieux par les éleveurs. C'est en fait l'une des clés des "pitakok". Pour autant, les jeux d'argent étant réglementés sur le territoire français, les combats organisés dans les "pitakoks", le sont aussi...n'est-ce pas ?
De nombreux "pit"
Il y a, en Guadeloupe, de nombreux « pitakoq », des petites arènes ou gallodromes où se jouent des combats de coqs dressés pour l’occasion. Ces combats, largement décriés, parce que souvent très violents, perdurent et même s’organisent de plus en plus.Des "pits" existent en différents endroits de Guadeloupe. Les anciens continuent à élever les coqs, à les nourrir, à les entraîner, pour des combats qui peuvent parfois aller jusqu'à la mort. Aujourd'hui, les combats peuvent aussi s'arrêter si l'un des participants décide de quitter le "ring". Autrement dit, si l'un des coqs donne le dos à son adversaire et fuit le combat.
La tradition renaît
Les traditionnalistes font tout ce qu’ils peuvent pour attirer l’attention sur les gallodromes. Des combats sont organisés, ouverts à tous, avec l’espoir que le regard de la critique changera. Cette fois-ci, des jeunes sont associés aux manifestations. Ils doivent prendre la relève et susciter l’intérêt de leurs congénères. Parce que la tradition doit perdurer et les combats continuer. Dans ce reportage de Yasmina Yacou et Ingrid Sossé Ismain, vous verrez que la tradition se transmet et que la relève peut être assurée, dans tout l’archipel, avec la présence de Saintois.
Les paris, la corde sensible
Évidemment, les combats sont officiellement organisés pour le simple jeu. Mais l'on sait bien que des "intérêts croisés" interviennent. L'argent est un élément souvent déterminant pour les matches organisés avec beaucoup de sérieux par les éleveurs. C'est en fait l'une des clés des "pitakok". Pour autant, les jeux d'argent étant réglementés sur le territoire français, les combats organisés dans les "pitakoks", le sont aussi...n'est-ce pas ?