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Après les propos racistes, qui avaient choqué la Guadeloupe, ce sont les réquisitions du procureur qui suscitent bien des interrogations. A l’issue de son procès, vendredi au Tribunal correctionnel de Basse-Terre, un an de prison ferme avait été requis à l’encontre du jeune homme jugé pour injures racistes, menace de mort réitérées, vol et dégradation de véhicule…Sauf que, le lendemain cette peine n'était plus que d'un mois ferme. Pour se faire entendre, les avocats de la partie civile tiennent une conférence de presse en fin de matinée…
Y a-t-il eu des pressions exercées entre vendredi et lundi ? Des manœuvres illégales auraient –elles été pratiquées ? Les avocats de la partie civile envisagent en tout cas de mettre en œuvre toutes les procédures judiciaires adéquates et nécessaires pour faire la lumière sur ce surprenant épisode. Alors que la presse entière, les avocats de la partie civile, ceux de la défense ont tous distinctement entendu le procureur requérir 1 an de prison ferme à l’encontre de Nicolas Chaulet vendredi, le lendemain le parquet démentait. Il affirme désormais avoir demandé un mois a l’issue d’un réquisitoire d’une rare virulence contre le jeune homme, presqu’un plaidoyer contre le racisme et en faveur de lourdes condamnation de tous ceux qui se livrent à cette pratique.
Cette situation est donc inouïe, une première judiciaire pour les hommes et femme de loi du barreau de la Guadeloupe. Ils comptent bien user de tous les moyens légaux à leurs dispositions pour comprendre comment le peine requise entendue à pu fondre en une nuit.
Y a-t-il eu des pressions exercées entre vendredi et lundi ? Des manœuvres illégales auraient –elles été pratiquées ? Les avocats de la partie civile envisagent en tout cas de mettre en œuvre toutes les procédures judiciaires adéquates et nécessaires pour faire la lumière sur ce surprenant épisode. Alors que la presse entière, les avocats de la partie civile, ceux de la défense ont tous distinctement entendu le procureur requérir 1 an de prison ferme à l’encontre de Nicolas Chaulet vendredi, le lendemain le parquet démentait. Il affirme désormais avoir demandé un mois a l’issue d’un réquisitoire d’une rare virulence contre le jeune homme, presqu’un plaidoyer contre le racisme et en faveur de lourdes condamnation de tous ceux qui se livrent à cette pratique.
Cette situation est donc inouïe, une première judiciaire pour les hommes et femme de loi du barreau de la Guadeloupe. Ils comptent bien user de tous les moyens légaux à leurs dispositions pour comprendre comment le peine requise entendue à pu fondre en une nuit.