Lors d’un bref séjour chez nous, ce jeune peintre graffiteur madrilène a personnalisé quelques murs en intérieur comme en extérieur. Comme artiste, il est connu sous le pseudonyme de Sfhir mais pour l’Etat Civil c’est Hugo Lomas Fernandez.
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A 36 ans, ce ressortissant espagnol natif de Madrid a déjà signé des œuvres aux quatre coins de la planète dont le pôle arctique.
A l’initiative d’un de ses compatriotes établi en Guadeloupe, il a réalisé des tableaux dont certains sont visibles pour les automobilistes qui passeraient à Gensolin Morne-à-l’eau ou à Morne La Loge à Pointe-à-Pitre. A Morne-à-leau, il faut prendre de la distance pour bien distinguer une tête d’iguane dessinée sur un corps d’homme allongé et en tenue de surfeur. Une façon d’évoquer le spot du Moule, non loin, et une espèce de la faune locale présente dans ce secteur géographique. Non loin du CHU, morne la Loge, la façade d’un cabinet d’orthodontie arbore une magnifique sirène au teint d’ébène. L’œuvre de Gensolin reproduit un concept que Sfhir a baptisé de façon très judicieuse et éloquente « Humanimal ». La représentation de cet être hybride évoque en quelque sorte l’anthropomorphisme qui est l’un des caractères constants de l’inspiration de l’artiste qui exploite largement la 3D.
Autre particularité de la technique de Sfhir, la présence de cubes disposés de façon aléatoire, voire impossible les uns par rapport aux autres. D’où le concept d’un cubisme impossible. Cette technique d’ESCHER qui peut paraître rébarbative à décrire ou à décrypter ne perturbe nullement la captation visuelle de l’observateur esthète. Les œuvres de l’artiste suscitent indubitablement admiration et respect. On comprend aisément son succès mondial.
Sfhir a réalisé aussi quelques dessins chez des particuliers guadeloupéens. L’artiste s’expose sur internet en tapant son pseudonyme. Il a promis de revenir en Guadeloupe pour concilier tourisme, inspiration et production artistique.
Voir aussi :
A l’initiative d’un de ses compatriotes établi en Guadeloupe, il a réalisé des tableaux dont certains sont visibles pour les automobilistes qui passeraient à Gensolin Morne-à-l’eau ou à Morne La Loge à Pointe-à-Pitre. A Morne-à-leau, il faut prendre de la distance pour bien distinguer une tête d’iguane dessinée sur un corps d’homme allongé et en tenue de surfeur. Une façon d’évoquer le spot du Moule, non loin, et une espèce de la faune locale présente dans ce secteur géographique. Non loin du CHU, morne la Loge, la façade d’un cabinet d’orthodontie arbore une magnifique sirène au teint d’ébène. L’œuvre de Gensolin reproduit un concept que Sfhir a baptisé de façon très judicieuse et éloquente « Humanimal ». La représentation de cet être hybride évoque en quelque sorte l’anthropomorphisme qui est l’un des caractères constants de l’inspiration de l’artiste qui exploite largement la 3D.
Autre particularité de la technique de Sfhir, la présence de cubes disposés de façon aléatoire, voire impossible les uns par rapport aux autres. D’où le concept d’un cubisme impossible. Cette technique d’ESCHER qui peut paraître rébarbative à décrire ou à décrypter ne perturbe nullement la captation visuelle de l’observateur esthète. Les œuvres de l’artiste suscitent indubitablement admiration et respect. On comprend aisément son succès mondial.
Sfhir a réalisé aussi quelques dessins chez des particuliers guadeloupéens. L’artiste s’expose sur internet en tapant son pseudonyme. Il a promis de revenir en Guadeloupe pour concilier tourisme, inspiration et production artistique.
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