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Pas d’aboutissement dans le conflit à Routes de Guadeloupe. Les syndicats CGTG, UNSA et UTC-UGTG étaient réunis avec la direction depuis 15 heures, hier, au siège de l’entreprise.
Et un accord était sur le point d’être signé sur la base d’un plan de rattrapage indiciaire, pour 287 agents qui auraient dû être requalifiés en "agents territoriaux", lors du basculement de l’ex-DDE vers le syndicat mixte. Mais après onze heures du discussions, les deux parties se sont quittées vers 2 heures du matin sur un constat d’échec.
Le point de blocage portait sur le protocole d’accord du 27 juin dernier. Il a été dénoncé par Josette Borel-Lincertin, car jugé illégal dans sa forme, en raison d’une rétroactivité des décisions au 1er janvier 2016. La présidente de Routes de Guadeloupe a voulu fixer cette rétroactivité au 1er janvier 2017. Refus de l’intersyndicale, qui demande le respect de l’accord signé, sans quoi, dit-elle, elle "saura prendre ses responsabilités". On peut donc s’attendre à de nouvelles actions, sur les routes…
Et un accord était sur le point d’être signé sur la base d’un plan de rattrapage indiciaire, pour 287 agents qui auraient dû être requalifiés en "agents territoriaux", lors du basculement de l’ex-DDE vers le syndicat mixte. Mais après onze heures du discussions, les deux parties se sont quittées vers 2 heures du matin sur un constat d’échec.
Le point de blocage portait sur le protocole d’accord du 27 juin dernier. Il a été dénoncé par Josette Borel-Lincertin, car jugé illégal dans sa forme, en raison d’une rétroactivité des décisions au 1er janvier 2016. La présidente de Routes de Guadeloupe a voulu fixer cette rétroactivité au 1er janvier 2017. Refus de l’intersyndicale, qui demande le respect de l’accord signé, sans quoi, dit-elle, elle "saura prendre ses responsabilités". On peut donc s’attendre à de nouvelles actions, sur les routes…