« Nous devenons maltraitants par manque de personnel » : Manque de médicaments et de matériel, démissions de médecins urgentistes, l’UTS-UGTG alerte sur la situation du Centre hospitalier de la Basse-Terre, contraint, selon le syndicat, à faire des choix entre les patients.
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Alors que le CHU est en passe d’être délocalisé sur plusieurs sites, la fièvre monte au CHBT, le centre hospitalier de la Basse-Terre, qui risque de devenir pendant quelque temps le seul établissement public de la Guadeloupe regroupant les services de médecine, chirurgie et obstétrique.
L’Union des travailleurs de la santé, affiliée à l’UGTG, alerte sur le manque de moyens matériels, l’obsolescence des blocs opératoires, mais aussi sur les démissions annoncées de médecins aux urgences et sur la rareté de certains spécialistes. Et cela, alors que le sud Basse-Terre et la Côte-sous-le-Vent sont particulièrement dépourvus en médecins généralistes et spécialisés
Pour L’UTS- l’UGTG, les agents seraient contraints de faire des choix entre les patients.
L’Union des travailleurs de la santé, affiliée à l’UGTG, alerte sur le manque de moyens matériels, l’obsolescence des blocs opératoires, mais aussi sur les démissions annoncées de médecins aux urgences et sur la rareté de certains spécialistes. Et cela, alors que le sud Basse-Terre et la Côte-sous-le-Vent sont particulièrement dépourvus en médecins généralistes et spécialisés
Ronan Ponnet Guadeloupe La 1ère
Pour L’UTS- l’UGTG, les agents seraient contraints de faire des choix entre les patients.
Julien Noël, délégué de l’UTS-UGTG au centre hospitalier de la Basse-Terre