A quelques jours du lancement officiel du carnaval 2020, les "Mas a po"affichent leur nouvelle identité. regroupés dans un "Kolektif Mas Kiltirel", 23 groupes souhaitent désormais tenir une vraie place dans l'organisation du carnaval tout en gardant leur authenticité
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L'image des groupes à peau qui déboulent chacun de son coté, sans respecter d’ordre de passage ou d’itinéraire, colle à la peau d’un mouvement qui imprime sa marque .
Pourtant depuis une quinzaine d’années, ils sont regroupés autour du "kolektif Mas Kiltirèl". Cette année, ils sont 23 groupes à s’inscrire dans cette dynamique. Le Groupe AKIYO n’en fait pas partie. Et l’une des grandes fiertés du kolektif, c’est son combat pour toujours plus de sécurité .
L’autre grand défi, c’est la déconcentration de l’expression des groupes à peau, sortant de la bipolarisation, Pointe-à-Pître et Basse-Terre.
Le programme qui s’est ouvert avec le "ben démaré" du jour de l’an est très fourni : une vingtaine de rendez-vous, avec deux points d’ordre.
Un phénomène culturel, qui porte le sceau de la quête identitaire. Cette année, l’accent sera mis sur le développement du "nou" culturel, avec comme témoin un beau recueil : 2/3 photo et 1/3 texte. Un mouvement qui avance.
Le carnaval est court cette année, les "mas a po" entendent y prendre toute leur place… et jouer à leur cadence.
Pourtant depuis une quinzaine d’années, ils sont regroupés autour du "kolektif Mas Kiltirèl". Cette année, ils sont 23 groupes à s’inscrire dans cette dynamique. Le Groupe AKIYO n’en fait pas partie. Et l’une des grandes fiertés du kolektif, c’est son combat pour toujours plus de sécurité .
Le programme qui s’est ouvert avec le "ben démaré" du jour de l’an est très fourni : une vingtaine de rendez-vous, avec deux points d’ordre.