Les salariés du GPAP (groupement pétrolier d'avitaillement de Pointe-à-Pitre) vont-ils mettre leur menace de débrayage à exécution aujourd’hui ? Ils sont solidaires de leur collègues de Martinique et menacent de perturber les approvisionnements des avions à l’aéroport Pôle Caraïbes.
•
Les vacanciers et les usagers des avions doivent être vigilants.
Des salariés du GPAP, le groupement pétrolier d’avitaillement de Pointe-à-Pitre, menacent de relancer des débrayages.
Ils sont solidaires de leurs collègues de Martinique, en grève depuis mercredi dernier. Plus aucun avion n’est chargé en kérosène sur l’aéroport Aimé Césaire, au Lamentin.
Les appareils sont déroutés vers la Guadeloupe ou alors la Barbade pour faire le plein.
Vendredi dernier, ils ont procédé à un débrayage d’une heure trente.
Aujourd’hui, ils laissent planer le doute sur la multiplication des arrêts de travail ponctuels et inopinés.
Alain Lunion, le délégué syndical UGTG du GPAP dénonce le matériel trop vieux, le manque de personnel, entre les employés en congé de maladie et ceux qui partent à la retraite, qui ne sont pas remplacés. Il estime que les conditions de travail ne sont pas bonnes et attend de voir comment les négociations évolueront en Martinique, pour décider de la suite du mouvement, chez nous.
Les grévistes souhaitent le maintien des acquis sociaux et l'embauche de deux salariés.
Des salariés du GPAP, le groupement pétrolier d’avitaillement de Pointe-à-Pitre, menacent de relancer des débrayages.
Ils sont solidaires de leurs collègues de Martinique, en grève depuis mercredi dernier. Plus aucun avion n’est chargé en kérosène sur l’aéroport Aimé Césaire, au Lamentin.
Les appareils sont déroutés vers la Guadeloupe ou alors la Barbade pour faire le plein.
Débrayages en prévention
Les personnels de Guadeloupe font partie du même groupe. Et craignent que leurs revendications ne restent lettre morte.Vendredi dernier, ils ont procédé à un débrayage d’une heure trente.
Aujourd’hui, ils laissent planer le doute sur la multiplication des arrêts de travail ponctuels et inopinés.
Alain Lunion, le délégué syndical UGTG du GPAP dénonce le matériel trop vieux, le manque de personnel, entre les employés en congé de maladie et ceux qui partent à la retraite, qui ne sont pas remplacés. Il estime que les conditions de travail ne sont pas bonnes et attend de voir comment les négociations évolueront en Martinique, pour décider de la suite du mouvement, chez nous.
Suite des négociations
En Martinique, il y a eu hier, une nouvelle séance de discussions avec la direction de l’aéroport et la préfecture de Martinique. Des négociations qui doivent reprendre aujourd’hui à 14 heures, dans l'ancien aéroport du Lamentin.Les grévistes souhaitent le maintien des acquis sociaux et l'embauche de deux salariés.