Ce matin, de nombreuses écoles ont dû fermer. Soit à cause de personnels contaminés, soit à cause du manque d'eau, en raison des coupures liées aux tours d'eau et aux travaux ainsi que de la grève des salariés de la structures. Un vent de colère souffle parmi les syndicats.
Premier syndicat à réagir :la FSU Guadeloupe qui s'alarme face à cette rentrée scolaire catastrophique. Des écoles qui ouvrent puis qui ferment pour désinfection. Des écoles sans eau obligées de fermer dans ce contexte de crise sanitaire et pour respecter le protocole sanitaire.
Le syndicat s'alarme des dysfonctionnements provoqués par la crise sanitaire et de l'inquiétude chez les personnels face à la multiplication des cas avérés. Un désastre selon le syndicat, aggravé par les coupures d'eau
Selon la FSU, en l’état actuel, le protocole ministériel n’est pas applicable et les gestes barrières et l’hygiène minimale ne peuvent être respectés dans les établissements scolaires !
Le syndicat demande en urgence
Le SPEG accuse les autorités d'inaction sur un ce absence d'eau dans les écoles. Selon Marie Emile Mirval, le secrétaire général du SPEG, le Covid que fait que révéler et amplifier un problème qu'ils dénoncent depuis plusieurs années et qui aujourd'hui met des vies en danger.
Dès la semaine dernière, au moment de la pré-rentrée des enseignants, la FSU Guadeloupe tirait la sonnette d’alarme pour l’Éducation sur notre territoire. Une semaine plus tard, la situation est encore pire que ce que la FSU craignait !
Le syndicat s'alarme des dysfonctionnements provoqués par la crise sanitaire et de l'inquiétude chez les personnels face à la multiplication des cas avérés. Un désastre selon le syndicat, aggravé par les coupures d'eau
Selon la FSU, en l’état actuel, le protocole ministériel n’est pas applicable et les gestes barrières et l’hygiène minimale ne peuvent être respectés dans les établissements scolaires !
De nombreux établissements scolaires (une centaine aujourd’hui se trouvent à l’heure actuelle fermés pour ces raisons. La FSU Guadeloupe dénonce ces conditions inacceptables de rentrée, qui ne peuvent plus perdurer un jour de plus !
Le syndicat demande en urgence
- la réunion d’un Comité Technique Académique extraordinaire pour adapter le protocole ministériel à la situation locale sur le terrain,
- un plan d’urgence gouvernemental pour faire face aux carences des collectivités locales pour installer dans tous les établissements de l’académie des citernes d’eau en entrée de réseau à hauteur des besoins
- un plan d’urgence gouvernemental pour pallier les carences en matière de fourniture d’eau pour l’ensemble de la population.
Le SPEG accuse les autorités d'inaction sur un ce absence d'eau dans les écoles. Selon Marie Emile Mirval, le secrétaire général du SPEG, le Covid que fait que révéler et amplifier un problème qu'ils dénoncent depuis plusieurs années et qui aujourd'hui met des vies en danger.