« Des effets spéciaux ahurissants », » un visuel renversant », le remake du film, le roi lion de 1994, fait preuve d’une prouesse technique. Sorti en Guadeloupe le 19 juillet dernier, il continue de faire salle comble un mois plus tard
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18h devant l'entrée du complexe cinématographique de Dothémare aux Abymes. Les cinéphiles se pressent. Plusieurs films sont à l'affiche mais beaucoup ne sont là que pour "Le Roi Lion". Certains d'ailleurs l'ont déjà vu. Ils étaient là dés le premier jour, lors de la sortie du film. Et comme tout bon cinéphile qui se respecte, ils reviennent, histoire de bien scruter tous les détails de ce nouveau film.
Et des détails, il y en a. Un pari misé sur l’imaginaire et l’émotion, l’empire Disney, a encore innové. Plutôt bien accueilli dans les salles de cinéma françaises, le film rencontre toutefois quelques critiques qui sous-entendent que l’émotion ne laisse pas assez place au fantastique. Ce qui ne l'empêche pas de dominer le box-office mondial.
Une responsabilité bien endossée par le réalisateur John Favreau qui a respecté l’original en revalorisant les personnages.
L’équipe du film avoue avoir longuement enquêté sur le comportement des animaux et leurs habitats. Elle a même entrepris un voyage de deux semaines en Afrique, photographiant décors et animaux sous toutes leurs formes.
Disney réinvente à la manière d’une fable une idéologie de la transmission héréditaire d’un pouvoir. Le roi Mufasa qui assure le pouvoir à son fils Simba, est lâchement assassiné par son frère Scar qui désire s'emparer du trône. Une histoire qui peut être assimilée à une réalité criante au sein de notre société.
L’animation amorcée de couleurs vives laisse place à une imagerie époustouflante dopée de leçons de morales.
Des sentiments et agissements humains plongent le spectateur dans une profonde réalité exacerbée de la vie.En Guadeloupe comme ailleurs, les ingrédients du film lui assurent un vrai succès. Les jeunes comme les plus vieux glissent sans peine dans l'univers rocambolesque de Disney.
Sur les réseaux sociaux, la satisfaction est générale : Un cinéphile commente : "moi j'ai passé mon temps a pleurer, il est magnifique"
Et puis, un mot qui est désormais entré dans toutes les langues du monde aura su rappeler qu'il s'agit bien du "Roi Lion" : Hakuna Matata !"
Et des détails, il y en a. Un pari misé sur l’imaginaire et l’émotion, l’empire Disney, a encore innové. Plutôt bien accueilli dans les salles de cinéma françaises, le film rencontre toutefois quelques critiques qui sous-entendent que l’émotion ne laisse pas assez place au fantastique. Ce qui ne l'empêche pas de dominer le box-office mondial.
Une responsabilité bien endossée par le réalisateur John Favreau qui a respecté l’original en revalorisant les personnages.
L’équipe du film avoue avoir longuement enquêté sur le comportement des animaux et leurs habitats. Elle a même entrepris un voyage de deux semaines en Afrique, photographiant décors et animaux sous toutes leurs formes.
Disney réinvente à la manière d’une fable une idéologie de la transmission héréditaire d’un pouvoir. Le roi Mufasa qui assure le pouvoir à son fils Simba, est lâchement assassiné par son frère Scar qui désire s'emparer du trône. Une histoire qui peut être assimilée à une réalité criante au sein de notre société.
L’animation amorcée de couleurs vives laisse place à une imagerie époustouflante dopée de leçons de morales.
Des sentiments et agissements humains plongent le spectateur dans une profonde réalité exacerbée de la vie.En Guadeloupe comme ailleurs, les ingrédients du film lui assurent un vrai succès. Les jeunes comme les plus vieux glissent sans peine dans l'univers rocambolesque de Disney.
Sur les réseaux sociaux, la satisfaction est générale : Un cinéphile commente : "moi j'ai passé mon temps a pleurer, il est magnifique"
Et puis, un mot qui est désormais entré dans toutes les langues du monde aura su rappeler qu'il s'agit bien du "Roi Lion" : Hakuna Matata !"