La directrice générale de la société Miss France affirme dans "Le Parisien" avoir manqué de temps pour statuer sur les photos de la candidate évincée de l'élection de Miss Guadeloupe, Annaëlle Guimbi et lui a fait une proposition.
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Cachez ce sein que nous ne saurions voir. Le "Tétégate" d’Anaëlle Guimbi, candidate de Miss Guadeloupe évincée du concours, il y a une semaine, suite à la révélation de photos de bodypainting prises dans le cadre de la lutte contre le cancer du sein. La poitrine de la jeune fille de 20 ans a beau être artistiquement recouverte de peinture, il n’en reste pas moins que ce type de cliche est interdit par le règlement du concours Miss France qui régit Miss Guadeloupe.
Mais c’était sans compter sur les objecteurs de conscience des réseaux sociaux, qui, depuis plus d'une semaine, font flamber la toile. Tant et si bien que Sylvie Tellier, présidente du Comité Miss France a dû jouer les pompiers, il y a quelques jours. Elle a offert à la jeune femme l’opportunité de se représenter l’an prochain. Offre gentiment déclinée par Anaëlle Guimbi qui estime avoir vécu une belle aventure, mais ne désire pas remettre le couvert. Pas folle la guêpe… Soutenue par les réseaux sociaux, la jeune femme, avec cette affaire, a vu sa notoriété littéralement exploser.
Un cas d’école de bad buzz qui peut servir de socle à un marketing de l’image. Très justement, Anaelle Guimbi a su maitriser sa propre communication, avec des déclarations sobres qui vont dans le respect du règlement Miss France. Il n’y a donc pas de soucis à se faire pour la jeune femme qui saura sans doute capitaliser sur cette expérience regrettable.
Mais c’était sans compter sur les objecteurs de conscience des réseaux sociaux, qui, depuis plus d'une semaine, font flamber la toile. Tant et si bien que Sylvie Tellier, présidente du Comité Miss France a dû jouer les pompiers, il y a quelques jours. Elle a offert à la jeune femme l’opportunité de se représenter l’an prochain. Offre gentiment déclinée par Anaëlle Guimbi qui estime avoir vécu une belle aventure, mais ne désire pas remettre le couvert. Pas folle la guêpe… Soutenue par les réseaux sociaux, la jeune femme, avec cette affaire, a vu sa notoriété littéralement exploser.
Un cas d’école de bad buzz qui peut servir de socle à un marketing de l’image. Très justement, Anaelle Guimbi a su maitriser sa propre communication, avec des déclarations sobres qui vont dans le respect du règlement Miss France. Il n’y a donc pas de soucis à se faire pour la jeune femme qui saura sans doute capitaliser sur cette expérience regrettable.