La question a été posée par deux associations qui ont esté en justice. Le tribunal administratif de la Guadeloupe vient d’annuler un arrêté de la ville de Pointe-à-Pitre.
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La société pour la protection des paysages et l’esthétique de la France et l’association des architectes du patrimoine ont attaquer en justice la décision de la mairie de démolir « l’ex-maison de Saint-John Perse ». La bâtisse a été détruite parce qu’elle tombait en ruine. Si les deux associations ont obtenu l’annulation de l’arrêté, elles n’ont pas obtenu la reconstruction à l’identique de cette maison.
Dans un communiqué le maire de Pointe-à-Pitre prend acte de cette décision du tribunal administratif et indique que cela ne change rien la décision prise en vertu du principe de précaution. Par ailleurs la mairie affirme que Cap Excellence a déjà pris l’engagement de reconstruire à l’identique cette maison. Un espace à vocation culturelle sera même mis a disposition.
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Peggy Robert Guadeloupe .1 La Radio