Les proches de Jean-Luc Nisice, sans nouvelles de ce véliplanchiste de 45 ans, parti au large de Vieux-Fort, mardi dernier, ne perdent pas espoir. En plus de l'opération menée par le CROSSAG, ils ont également entrepris des recherches de leur côté.
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Ils ne perdent pas espoir de le retrouver sain et sauf... La famille de Jean-Luc Nisice, 45 ans, disparu en mer depuis mardi 17 juillet, remue ciel et terre pour le retrouver.
Sur la base des éléments de prévision de dérive, les recherches se poursuivent tous les jours avec une permanence de moyens aériens français et étrangers au-dessus de la mer. Tous les navires dans la zone sont sensibilisés par messages Mayday Relay, diffusés toute les heures et par des contacts directs avec les navires identifiés (navires de commerce, navires à passager assurant la liaison vers les Saintes, Basse-Terre, Pointe-à-Pitre, navires de plaisance).
A l’issue de cette phase de recherches actives par 11 aéronefs, une frégate de la marine nationale et 2 vedettes de sauvetages de la SNSM, aucun élément nouveau n’a été obtenu.
Une page a été créée sur Facebook. Baptisée "Groupe de soutien aux recherches de Jean-Luc", elle centralise informations et messages de soutien à la famille.
Sur cette page, des amis, des connaissances et volontaires s'entraident, offrent leurs services et font parfois des dons servant à financer les recherches.
Ce samedi après-midi (21 juillet), par exemple, c'est un petit groupe qui a sillonné le sud et l'est de l'archipel, à la recherche de Jean-Luc, à bord d'un avion privé. Si cette sortie n'a rien donné, les membres du groupe ne baissent pas, pour autant, les bras. Une nouvelle aura lieu demain, ce dimanche.
La famille est désormais à la recherche de vidéos de surveillance, vers les Saintes, qui permettraient, peut-être, d'obtenir de nouvelles informations.
Le CROSS AG invite toutes les personnes disposant d'informations ou tous témoins à contacter le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et Sauvetage Antilles Guyane, au numéro gratuit 196.
Vaste opération lancée par le CROSSAG
Un important dispositif de recherches a immédiatement été mis en place par le CROSSAG, le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage Antilles Guyane, impliquant des moyens aériens, nautiques et terrestres, au soir de sa disparition.Sur la base des éléments de prévision de dérive, les recherches se poursuivent tous les jours avec une permanence de moyens aériens français et étrangers au-dessus de la mer. Tous les navires dans la zone sont sensibilisés par messages Mayday Relay, diffusés toute les heures et par des contacts directs avec les navires identifiés (navires de commerce, navires à passager assurant la liaison vers les Saintes, Basse-Terre, Pointe-à-Pitre, navires de plaisance).
A l’issue de cette phase de recherches actives par 11 aéronefs, une frégate de la marine nationale et 2 vedettes de sauvetages de la SNSM, aucun élément nouveau n’a été obtenu.
La solidarité s'organise
Des recherches qui restent, pour l'heure, vaines. Et l'inquiétude grandit au sein de la famille, car Jean-Luc Nisice ne portait pas d’aide à la flottabilité. Mais, cela n'entache pas la motivation des proches du véliplanchiste qui tentent tout pour le retrouver.Une page a été créée sur Facebook. Baptisée "Groupe de soutien aux recherches de Jean-Luc", elle centralise informations et messages de soutien à la famille.
Sur cette page, des amis, des connaissances et volontaires s'entraident, offrent leurs services et font parfois des dons servant à financer les recherches.
Ce samedi après-midi (21 juillet), par exemple, c'est un petit groupe qui a sillonné le sud et l'est de l'archipel, à la recherche de Jean-Luc, à bord d'un avion privé. Si cette sortie n'a rien donné, les membres du groupe ne baissent pas, pour autant, les bras. Une nouvelle aura lieu demain, ce dimanche.
La famille est désormais à la recherche de vidéos de surveillance, vers les Saintes, qui permettraient, peut-être, d'obtenir de nouvelles informations.
Le CROSS AG invite toutes les personnes disposant d'informations ou tous témoins à contacter le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et Sauvetage Antilles Guyane, au numéro gratuit 196.