Faut-il intenter une action collective chlordécone ?

C'est en tout cas l'avis du CRAN et de l'Association VIVRE qui tiennent ce matin une conférence de presse pour expliquer leurs motivation. Présentes aussi à cette conférence, plusieurs personnalités qui estiment qu'une telle action est déjà menée notamment par les avocats
Pour le CRAN, le Conseil Représentatif des Associations Noires, et l'Association VIVRE, il y a désormais lieu "de passer à la vitesse supérieure en invitant les populations antillaises à se mobiliser dans le dossier du Chlordécone. Pour eux, "l'Etat a failli à sa mission de protection des citoyens en exposant les populations" au chlordécone. Jean-Marie Flower et la présidente de l'association VIVRE vont plus loin en déclarant "Nous sommes en guerre contre l'Etat. Pour eux cette action est un front supplémentaire dans ce dossier.
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Supplémentaire par rapport à l'existant. Le bâtonnier Charles Nicolas a tenu à réagir sur place en indiquant que les avocats ont déjà fait beaucoup. 
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Avant lui, Sur Guadeloupe La 1ère, l'avocat Harry Durimel, leader de REV Guadeloupe avait parler de cette affaire lancée par le CRAN et VIVRE en estimant qu'il s'agit d'une escroquerie

Harry Durimel, REV Guadeloupe