La conférence sur le rôle et la place de la femme dans la société guadeloupéenne voulue par la sénatrice Victoire Jasmin et l'association FORCES, s’est tenue ce mardi, au Gosier. L’occasion de faire un point sur les réalités actuelles de la femme guadeloupéenne.
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Une conférence qui aura surtout permis de mettre en lumière les réalités de la femme guadeloupéenne, la femme « poto mitan » la mère « courage » qui supporte tout, mais qui rencontre aussi des faiblesses.
Parfois éprouvée, la femme guadeloupéenne fait souvent face à des problèmes récurrents. « Les violences conjugales, l’égalité professionnelle, l’égalité salariales sont des sujets internationaux mais il y a des façons différentes de les traiter en fonction des territoires. » souligne Annick Billon sénatrice et présidente de la délégation aux droits des femmes au Sénat.
De passage en Guadeloupe elle a tenue à être présente pour la conférence afin de soutenir Victoire Jasmin, à l’origine de ce projet.
Les violences sexuelles sont en constante augmentation et afin de pallier à cela ,des mesures ont été proposées; entre autre, la mise en place de procédure d’éloignement lorsque le conjoint est violent ou l’augmentation de place en hébergement.
Impulser une nouvelle dynamique et faire émerger une prise de conscience auprès des familles guadeloupéennes, c’est le défi lancé par la conférence.
Une possibilité de mettre des « mots » sur des « maux » on peut dire que cette conférence à portée du fruit.
L’égalité des droits est acquise dans l’esprit d’une grande majorité. Elle est encore plus manifeste dans cette génération montante.
La femme a toujours, dans quelque civilisation que ce soit, été dominée par l’homme .Le travail confère l’autonomie financière à la femme depuis 1940. Elle n’a obtenue le droit de vote et d’éligibilité que très récemment, en 1944.
Les années 1965-1985 autrement dits « les vingt glorieuses des femmes » ont été marquées par le combat féministe. De nombreuses réformes sont votées telles que la Loi Veil (1975) autorisant l’IVG (interruption volontaire de grossesse), ou encore, la loi qui condamne le harcèlement sexuel en 1992.
De passage en Guadeloupe elle a tenue à être présente pour la conférence afin de soutenir Victoire Jasmin, à l’origine de ce projet.
Impulser une nouvelle dynamique et faire émerger une prise de conscience auprès des familles guadeloupéennes, c’est le défi lancé par la conférence.
Une possibilité de mettre des « mots » sur des « maux » on peut dire que cette conférence à portée du fruit.
Rappel historique
L’histoire de la Guadeloupe est singulière, construite avec ou sans l’institution religieuse, selon l’époque, entre enfermement et émancipation. La femme « poto mitan » a su s’affirmer.L’égalité des droits est acquise dans l’esprit d’une grande majorité. Elle est encore plus manifeste dans cette génération montante.
La femme a toujours, dans quelque civilisation que ce soit, été dominée par l’homme .Le travail confère l’autonomie financière à la femme depuis 1940. Elle n’a obtenue le droit de vote et d’éligibilité que très récemment, en 1944.
Les années 1965-1985 autrement dits « les vingt glorieuses des femmes » ont été marquées par le combat féministe. De nombreuses réformes sont votées telles que la Loi Veil (1975) autorisant l’IVG (interruption volontaire de grossesse), ou encore, la loi qui condamne le harcèlement sexuel en 1992.