Plus de 1 000 chevaux et 83 structures professionnelles. La filière cheval en Guadeloupe vient de faire l’objet d’une étude, à l’initiative de la DAAF. Conclusion, c'est un secteur économique et sportif très diversifié.
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La DAAF, Direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt, vient de publier un rapport sur la filière du cheval dans la région Antilles-Guyane.
En Guadeloupe, le cheval est présent depuis quatre cents ans et, à travers les courses, et les centres équestres, le quadrupède est redevenu un animal assez populaire.
Un secteur économique qui fonctionne au petit trot. On compte un millier de chevaux dans l’archipel. 83 structures professionnelles composent le milieu du cheval en Guadeloupe, dont 13 centres équestres privés ou associatifs qui salarient 84 personnes, pour s’occuper de 430 chevaux et poneys. Et pour les monter, plus de 1 300 cavaliers licenciés.
La filière cheval est donc un secteur diversifié.
Pour en savoir plus :
Une étude pour mieux comprendre la filière
Il s’agit d’un observatoire économique qui sera rafraîchi régulièrement. Cette photographie va permettre de mieux comprendre la filière et d’identifier ses défauts.En Guadeloupe, le cheval est présent depuis quatre cents ans et, à travers les courses, et les centres équestres, le quadrupède est redevenu un animal assez populaire.
Un secteur économique qui fonctionne au petit trot. On compte un millier de chevaux dans l’archipel. 83 structures professionnelles composent le milieu du cheval en Guadeloupe, dont 13 centres équestres privés ou associatifs qui salarient 84 personnes, pour s’occuper de 430 chevaux et poneys. Et pour les monter, plus de 1 300 cavaliers licenciés.
La filière cheval est donc un secteur diversifié.
Pour en savoir plus :
Filière cheval