Un rapprochement en cour de réalisation qui n'a rien à voir avec les groupements hospitaliers territoriaux en vigueur depuis janvier 2017. Une fusion qui se veut en tout premier lieu fonctionnelle
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La direction du CHU a souhaité présenter elle-même cette fusion, peut-être parce qu'elle craignait une éventuelle confusion avec les groupements territoriaux mis en place par l'Agence Régionale de Santé. Il s'agit en premier lieu de tirer partie de l'existant puisque des liens fonctionnels existent déjà entre les trois établissements notamment en matière de gériatrie dans les échanges entre Palais Royal et le CHU ou dans la mise à disposition de personnels entre le CHU et l'hôpital de Marie-Galante. En quelque sorte, une officialisation.
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